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DANS LES FORGES DE SERRURERIE.
pour la chaude du soudage. La diminution de durée est bien plus notable si on considère les barreaux non amorcés, elle est de près d'un
fut le soudage des mêmes barreaux qu'oreavait coupés par la moitié. Ce fut le même forgeron que
quart pour- la chaude, et de plus d'un quart
pour le temps total du soudage. La diminution du déchet est de près d'un dixième.
Quant à la consommation eu combustible, elle peut être considérée comme à peu près la même dans les deux cas pour le même travail.
la première fois qui exécuta, le 24 etle 28 mai,
13 soudures de la manière qui a été décrite précédemment. Les durées des différentes chaudes furent évaluées pour chaque soudure, et sont consignées dans les deux tableaux suivans
Le 24 mai on recommença, dans la même forge, une nouvelle série d'épreuves semblables aux preIr
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EMPLOI DE L'AIR CHAUD
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mières. On avait démonté l'appareil à air chaud, et rétabli la tuyère à air froid, telle qu'elle existait d'abord. Pour le 28, l'appareil à air chaud fut replacé, mais cette fois la tuyère n'avait que 29
Ir'. chaude g,
9.5 12
valuer encore, avec plus de rigueur que la pre-
5
4
mière fois, la consommation en combustible. Pour
6
cela on pesa le charbon, on pesa l'eau qui y fut
8
fois pour mettre le foyer en feu. Le déchet du fer fut évalué de la même manière. Le travail exécuté
/.
I,. chaude 2e. chaude
j
P..
I=1.4
t
3
qu'on savait, d'après les premiers essais, devoir être employée. On prit les mêmes précautions que la première
J
b.,-.
c,
111.
expériences. Dans ces. nouveaux essais on avait pour but d'é-
midité du combustible au commencement et à la fin de l'expérience, on ne mit dans le baquet qu'un très léger excès de charbon sur la quantité
0
,
chaude
d g
d
millimètres de diamètre, comme à l'air froid, au lieu de 32 qu'elle avait dans les premières
ajoutée, on eut ainsi le poids du charbon mouillé. A la fin de chacune des deux opérations on pesa le charbon mouillé restant, etil fut facile d'avoir le poids du charbon sec consommé. Pour éviter les erreurs qui pouvaient résulter de l'inégalité d'hu-
AIR CHAUD
AIR FRO!D.
7
9 10
/1 12
13
10
li
11
7
7
9
9
10,5 13,5 12
10,5 13,5
",5 8 9
11
12
/
8,5 Il 10 8
iNloyennes. 9,50
5
15
15 8
8
II
5,5 24,5
ro,5 ' 3,5 7
9,5 7,5 9 8,5 8,5
tn. 28,5 , 18 8,5 do 29 9 do 7
5
24
24,5
7,5 24 G
25 22,5
6,5 22,5 6,5 23,5
7,5 25
1,69 9,00 6,6i 25,69
7
8
65
7
6,5
6,5 7
6
20
/2,5
To,5 12
7
2
-
8,5 35,5 4 23,5 25,5 7
9
6
8
r9
9
4,5
17
7,5
4,5 9,5 5,5
5
r6,5
9 8
7
5 5
18
10
7,5
8 9 8
7,08 8,95 (1)
6,5
7,5 23
'8,5 17
4,5 16 6
7,5
6
18
5,5 17,5
6,79 5,58 19,12
(I) Ou remarque, dans les résültais qui sè rapportent Pair chaud ,.que la durée des chaudes de la première sou-. clu!re ust, plus considérable que celle des autres cela tient:. saUS doute à Ce qUe le souffleur fut dérangé iquelq:e:i
staiis de son travail , et à ce que le charbon était trop mouillé, ce qu'on corrigea en ajoutant du charbon-sec.
Je crois donc qu"il: est plus exact de prendre pour terme de comparaison; ainsi qu'on l'a fait dans ce tableau, les soudures suivantes.. moyennes des