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MACHINE A VAPEUR
les coussinets, sont en fer massif percé pour chaque coussinet; dans le premier cas la chûte de la dernière clavette, par un accident quelconque , disloque tout l'appareil et entraîne de graves
avaries; tandis que dans le dernier cas,
- cette
clavette peut se briser et tomber sans d'autres inconvéniens qu'un jeu de quelques lignes dans les coussinets, lequel se fait entendre au machiniste et l'appelle pour y porter remède. E, les 3 tiges de pompes, saisissant les chevilles par leur milieu entre les 2 balanciers, et descendant dans les 3 colonnes en fonte F. Dans un épuisement par étage, une seule de ces colonnes serait vue au jour, mais les tiges seraient toujours comme
sur le dessin. Pices d'arrêt.
G, traverses en bois pour arrêter à une certaine limite la course du balancier ; cette course
étant réglée par le jeu des soupapes rend ces traverses superflues pendant une marche ordinaire ; elles ne sont destinées que pour des cas particuliers et momentanés, où elles empêchent le piston de heurter contre le haut et le bas du cy-
lindre; dans ces cas, la traverse .rencontre le ressort H un moment avant la fin de sa course ;
il arrive très rarement cependant que cela ait lieu ; ordinairement on laisse tomber ces traverses sur un plateau de :bois; ici, pour amortir le choc, on noiiseulement du ressort H, mais aussi profite' d'un cylindre en tôle h qu'il porte, muni de plaques de liége superposées l'une sur
l'autre jusqu'à la hauteur de la tôle, avec une courroie en croix pour les empêcher de sauter dehors. ,
déversoir qui 'reçoit l'eau à une hauteur
suffisante pour alimenter la bâche du condenseur.
DES MINES DE HOUILLE DU VIGAN.
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XY, ligne de terre. j, deux premières paires de traverses à l'orifice du puits; ces traverses sont
repétées jusqu'au fond, et leur épaisseur ne dépasse pas la saillie des brides- que les petites cales i servent à soutenir. I, pompe à air; K, condenseur. Le couvercle
de cette. pompe présente sa surface inférieure inclinée de manière à éviter le choc de la surface de l'eau lorsqu'elle le rencontre, et à la conduire vers son issue ; cette pompe , avec son passage inférieur venant du condenseur, est combinée de manière à vider entièrement ce dernier à chaque coup de piston,au lieu d'y laisser,comme on le fait souvent,
Pompe â air.
une masse d'eau chaude au détriment du vide. Le jeu des soupapes ne présente rien de remarquable, il ne diffère des autres appareils que par le moindre nombre de ses pièces. Lafig. 5 explique la partie qui forme la grande Appareil innovation que cette machine présente sur les qi=nde constructions du même genre; 1 tuyau amenant le simple
la vapeur de la chaudière ; m tuyau conduisant au ou leefid.,°tubl" condenseur; n tuyau contenant toujours la vapeur; x, y,z; trois joints à brides susceptibles de recevoir
chacun à volonté, soit une plaque qui ferme le passage, soit des rondelles qui le laissent ouvert, ces rondelles n'étant destinées qu'à remplacer l'épaisseur de la plaque entre les brides pendant son absence. Dans la figure, z sont fermés ety ouvert ; telle est la disposition x'lorsque la machine fonctionne à simple effet; quand au contraire y est fermé et x, z ouverts, la machine est à double elkt. Supposons d'abord ce dernier cas, c'est-à-dire y fermé par sa plaque ; x, z ouverts par leur rondelle ; les soupapes étanL disposées comme l'indique le dessin, c'est-à-dire 2, 3