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MACHiNE A VAPEUR WU VIGAN.
dans. les -vastes travaux de houille submerpercé gés, et c'est alers que toute sa force de 8o chevaux sera mise en réquisition. qu'avant que le puits ait acquis c On une profondeur suffisante, les tringles des pompes n'auront pas assez de longueur et de poids pour appeler le soulèvement du piston à vapeur ; c'est par ce motif qu'on emploie le tonneau indiqué sur la figure; on a mieux aimé placer le contre-poids
là que sur l'extrémité du balancier pour la sûreté des mineurs dans le puits; dès que les trin-
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RAPPORT Sur l'emploi de la tourbe pour le puddlage de
la fonte et le travail du fer, au four à réverbère, dans les forges d'Ichoux (Landes) (t). Par M. BINEAU, ingénieur des mines.
En commençant ce rapport, je dois d'abord
gles deviendront suffisamment longues, on supprimera ce contre-poids. Ilva sans dire que lorsque l'on marche -à double effet, au lieu de charger
exprimer toute ma reconnaissance à M. Larreillet, propriétaire des forges de Pissos et d'Ichoux, qui, avec une extrême obligeance, a bien voulu, mettre à ma disposition tous les moyens d'étudier dans ses usines les détails et les résultats de
de fonte sur le balancier même. La construction des pompes présente la plus grande facilité pour changer les pistons ou soupapes, quelle que soit la 'profondeur à laquelle elles sont submergées; on en a souvent eu l'expérience. Les chaudières sont disposées de manière à ce que le chauffeur ne soit jamais exposé à la chaleur du feu, des cendres ou du mâchefer ; les portes du foyer étant fermées en double plaque, entretiennent un courant intermédiaire d'air froid; les cendres, ainsi que le machefer , se dégorgent par le bas sans que le chauffeur les voie, et sont enlevées par un manoeuvre après leur refroidissement.
l'emploi métallurgique de la tourbe j'ai été heureux aussi de trouver aux forges d'Ichoux
cette extrémité du balancier, on charge proportionnellement l'autre en plaçant une masse
M. Ad. Larreillet , et de profiter de sa complaisance pour la direction et la surveillance de plusieurs essais.
Déjà des tentatives avaient été faites pour l'em-
ploi de la tourbe dans le puddlage, et les Annales des Mines (ire, série, tome i3, 1826, et 20. série, tome 5, 1829) contiennent quelques renseignemens sur les essais faits à ce sujet par M. Alex, dans l'usine de Lauchammer, près de Dresde; mais ces trop courtes notices ne se rap-
portent qu'a des expériences incomplètes, et dont, en France du moins, on ignore généralement la suite. M. Larreillet a donc rendu un vé(1) Rapport adressé à M. le directeur général des ponts et chaussées et des mines.
Tome rH, 1835.
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Exposé.