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EXTRAITS,
362 Chaleur spéo. obtenue.
Sulfate de chaux
.
. 0,188
de plomb . . o,o85 de fer . . . . 0,145 - de cuivre.. . 0,18o Carbonate de chaux. 0,2011 de fer. . . 0,1819 de zinc. . 0,1712 de baryte. 0,1078
00408
de plomb. 12,0814 de chaux et magnésie. 0,2181 de magnésie
0,2230
Ad u I aire.
Albite. . .sulfate de chaux hydreux
0,0778
0,186x 0,1961
0,2264 0,1797 0,1851
0,2727
0,2590
Feld-spath ordinaire. 0,1911
-
0,175 0,079 0,16o 0,167 0,2058 0,1818 0,1663 o 1055
de stronte. 0445
et fer. . 0,2270
PI
Chaleur spéc. calculée.
J'avais trouvé 0,213 pour la chaleur spécifique du peroxide ,de fer, mais il est probable que cet oxide n'était pas pur. La détermination de Neumann ne s'accorde avec aucune hypothèse simple de division de l'atome On doit admettre dans l'oxide de fer magné,-
tique d'atomede fer, et d'atome d'oxigène. Il est probable que je n'avais pas opéré dans mes premières expériences sur du peroxide de manga-
nèse pur ; et il s'est vraisemblablement glissé, quelqu'erreur dars ma détermination de la chaleur spécifique du deutoxide d'étain. L'atome des sulfates doit être divisé en 4 pour arriver à l'égalité de chaleur spécifique, excepté le sulfate de soude, dont l'atome doit être divisé en 8. Il y a probablement eu erreur dans ma détermination relative au sulfate de zinc.
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L'atome des carbonates doit être également divisé en 4, excepté l'atome de carbonate de soude qui doit être divisé en 8. Le feld - spath ordinaire doit contenir d'atome de potassium, d'atome d'aluminium, d'a-
d'atome d'oxigène ; et d'atome de sodium,
- d'atome d'alul'albite
d'atome de silicium, et d'atome minium,
tome de silicium, et 2-a
d'oxigène. Enfin, l'atome de sulfate de chaux doit être divisé en 2. L'ensemble de mes expériences et de celles de
Neumann montre que le nombre 0,1875 , qui résulte des observations de MM. Dulong et Petit,
est réellement un peu trop faible. Le nombre vrai doit s'approcher beaucoup de 0,1902.
5. Moyen de déterminer la PESANTEUR SPÉCIFIQUE
rEs LIQUIDES, par M. Babinet. ( Lu à la Société
Philomatique. ) On trouve la description suivante de cet appareil dans un très ancien livre de physique. AB et ab sont deux, tubes recourbés qui sont fixés chacun sur une planche graduée (PI. VIII, fig. 2), et
réunis l'un à l'autre à l'aide , d'un bouchon ou d'un tuyau de caoutchouc. Pour s'en servir,
verse dans l'un de l'eau distillée, et dans l'autre:, le liquide que l'on veut éprouver, en ayant attention de ne les introduire qu'alternativement , afin d'éviter qu'ils ne se mélangent. Lorsque l'équilibre est bien établi, on mesure les longueurs des colonnes AB et ab, et il est évident que les densités sont précisément en raison inverse de ces longueurs. L'effet de la capillarité n'a d'ailleurs