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DE LA MINE, D7IIUELGOAT ( FINISTÈRE ).
N.GUU5ES A COLONNE D'EAU
lidaires les deux- élémens principaux du pont, et,
que laisse voir la projection horizontale fig. 4.
par conséquent, d'assurer à celui-ci une plus
Ces ancres sont scellées par leur extrémité avec du
grande- rigidité ans le sens transversal. Le genre de construction que je viens de décrire place évidemment les arceaux dans la position de pièces encastrées par les deux extrémités, et multiplie par conséquent leur résistance relatiVei ùussi le calcul assigne-t-il au pont une force suffisante pour supporter la charge qui lui est imposée. Cependant comme il peut survenir des,-cas, en dehors de toute prévision , où une force vive pluS ou moins considérable viendrait ajouter son action à delle de la simple pression hydrostatique cru devoir qui a servi de base à mes calculs , renforcer encore le système par l'addition de con-
plomb. Ceux de la rangée supérieure pénètrent jusque dans le poudingue, contre lequel la culée est adossée. Les flasques Se- composent chacune d'une forte
plaque ( de orn,o6 d'épaisseur) bordée tout autour
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d'une double nervure de renfort; cette nervure, qui est plus large dans les deux bouts pour servir de pied à la flasque , est taillée en queue d'hironde , et va se loger dans les rainures de même forme ménagées sur chaque plateau; sans toutefois les remplir entièrement : il reste des vides dans lesquels on chasse ensuite de longs coins en fer, qui établissent un premier moyen de réunion
tre-fiches qui arc-boutent les flasques par leur
entre les plateaux et les extrémités des flasques. Cet assemblage est complété et rendu absolument invariable au moyen des boulons à écrous r; qui traversent les tins et les autres : les têtes de ces
milieu.
Ces contre-fiches consistent en deux cadres /1 contre-fiches. fondus d'une seule pièce qui , pla.cés transversalement sous les -fiasques dn pont , se joignent par
boulons sont placées au revers des plateaux, et des trous ont été faits dans la pierre, afin de pouvoir, après en avoir enlevé les écrous, les y plonger; précaution indispensable s'il s'agissait jamais de démonter le pont : c'est pour faciliter cette manoeuvre que l'extrémité filetée de ces boulons est mu-
leurs côtés supérieurs, et s'appuient l'un contre l'autre selon le plan E ; on les maintient ensemble au moyen de deux sergens en fer plat , à talons posés par-dessus dans l'aplomb des flasques. Le côté inférieur p. de ces cadres est cylindrique et s'emboîte dans les sabots o, des deux étriers plats en fer forgé :ww, qui, appliqués d'abord contre la partie verticale du mur de culée , passent sous- le
nie d'un piton. Les arceaux ainsi placés sont reliés dans leur milieu par deux brides ou traverses en fer forgé placées l'une en haut, l'autre en bas et qui portent à chaque bout- une palette percée de deux trous. De grands boulons à écrous enfilent ensuite ces trous, ainsi que d'autres pratiqués dans les bases des cylindres Y et dans les nervures supérieures et inférieuresdes arceaux, un peu renflées à cet effet. L'objet de ces brides est de rendre so-
plateau correspondant, et s'accrochent contre le bord supérieur de ce dernier au moyen des têtes à double talon co. Le système entier est ensuite for-
tement coincé sous chaque flasque du pont, au moyen de deux coins de fer opposés qui glissent I un sur l'autre entre le sergent à talons posé à cheval sur les deux têtes des cadres et la palette
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