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APPLICATION D
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L'AIR CHAt D, ETC.
»i Pour la solidité et la facilité de son application à chaque foyer de ',forge, parce qu'il est maçonné dans le massif de la maçonnerie, y remplaçant le contre-coeur, qu'il fait épargner tout-àfait ;
2° Parce qu'il occupe très-peu d'espace, et qu'il ne gêne nullement le travail et les mouvements de l'ouvrier ; 3° Parce que l'air s'échauffe dans son intérieur,
non-seulement très-vite, mais même à un trèshaut degré. D'après les essais faits, un morceau de plomb introduit Claris cette, caisse calorifère s'y est fondu, ce qui annonce une chaleur de plus: de 200011.;
» 4° Parce qu'il n'exige qu'une très-petite augmentation de la force motrice du soufflet , toujours- plus ou moins nécessaire quand l'air doit être poussé dans un labyrinthe de tuyaux recourbés fréquemment; 5'3-Par la particularité de l'application de la vapeur d'eau. L'avantage que, par cet appareil, on retire de l'influence de la vapeur aqueuse a été mis hors de doute par l'expérience; il a été con-
CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES
Sur le ventilateur employé comme machine soufflante, et comme turbine à gaz; Par M. BIJRDIN , ingénieur en chef des mines.
Les Annales des mines (2e livraison de 1835 ) in niaclireess h°y-u font mention d'un ventilateur qui lance l'air dans drauliques un eu bilot de la fonderie de MM. James Martin et doLtet!i=le
fils, à Rouen; comme jusqu'à présent on n'a pas analogue à ceventilitexposé la théorie d'un pareil soufflet, je vais les- lui auteur. sayer d'en dire quelques mots, en la rattachant à celle des turbines hydrauliques. On sait que dans la machine hydraulique dite roue à poire, et dans la danaïde, une chute d'eau ,mgh produit son maximum d'effet en entrant sans
staté qu'el le produit encore une nouvelle économie
choc avec la vitesse-C C- égale à celle de la
d'économie de temps ; que le fer devient meilleur et qu'il éprOuve moins de déchet. Beaucoup d'ou-
circonférence décrite par le point où ce liquide est reçu , et en sortant en repos au centre de ces
de 10 pour 100 en charbon, et presque autant
vriers attentifs trouvèrent l'arplication de la vapeur aqueuse, non-seulement mile, mais même indispensable, ce qui a engagé M. Gross à augmenter d'un tiers la cont-nance de la chaudière lorsqu'il confectionna ses derniers appareils. » Il y- a déjà cinquante de ces appareils en usage dans diverses forges.
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roues, ( la vitesse V2b0-- se trouvant éteinte 2
sensiblement par l'effet de la force centrifuge, au fur et à mesure que le fluide se rend de la circonférence à l'axe ). .La machine à élever de l'eau , dite à force centrifuge, présente un raisonnement inverse , puis-
que le liquide se rend du céntre à la circonféTome X, 1836,,
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