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ANALYSES
DE SUBSTANCES MINÉRALES.
1 2. Sur les infusoires des TRIPOLIS ; par M. Ehremberg. ( Acad. des sc. , ii juillet 1836.)
)3. Analyse de l'EAU MINÉRALE de Humburf.f,
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J'ai trouvé que les roches d'apparence homogène, peu dures, friables, entièrement formées
de silice, et que l'on connaît sous le nom de
tripolis (polierschifer de Werner), sont entièrement composées de dépouilles ou plutôt de squelettes parfaitement reconnaissables d'animaux infusoires de la famille des bareillariées , et des genres coeconema, gonphonema, synedra , , etc. Ces dépouilles, ayant parfaitement conservé les formes des coriatus siliceuses de ces infusoires, se voient avec la plus grandie netteté au microscope, et peuvent facilement être comparées à des espèces vivantes'. Dans beaucoup de cas il n'y a pas de différences appréciables ; les
près Franefin-t-sur-le-Mein; par M. Liebig. ( Ann. der Phar. , t. 18 , p. 276.) I Cette eau laisse dégager du gaz acide carbonique en petites bulles lorsqu'elle arrive au jour,
et elle produit un dépôt ocreux au contact de l'air. Sa densité est de 1,01153 ; elle a donné à. l'analyse , faite sur 600 grammes : Chlorure de sodium Chlorure de calcium Chlorure de magnesium. Sulfate de soude Silice.
Carbonate de chaux Carbonate de magnésie. . Carbonate de fer Acide carbonique libre..
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espèces s'ont déterminées par la forme, et plus souvent encore par le nombre des cloisons ou
lignes transversales qui les divisent. Les individus de ligne de longueur. ont C'est dans les tripolis de Billen en Bohême, de de France et de Santafiora en Toscane, de
Francisbad, près d'Eger, que j'ai fait ces obser.
.va fions.
Le fer limoneux des marais est presque entièrement composé de gaellonella ferruginea. La plupart de ces espèces sont lacustres, mais il y en a aussi de marines, notamment dans le tripoli de l'île de France.
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0,01030661 0,00101029 0,00101457 0,00004967 0.00004112 0,00143106 0,00026219 0.00006020 0,00281000 0,014;98571
Analyse de l'EAU MINÉRALE de- Saint-Allyre
près Clermont, département- dit Pur-de-
Mime; par M. J. Girardin. (Précis des travaux de l'académie de Rouen, i836.)
Nicolas Lemery de Rouen est le premier qui ait entrepris l'analyse de ces eaux vers 1700. Ozy les a examinées en 1748, et il a conclu de ses essais qu'elles contiennent une substance ferrugi-
neuse avec un sel fossile de la nature du sel marin, et une espèce de marne semblable à de la chaux, qui en fait la partie terreuse. En 1799, Vauquelin en a fait une analyse complète, et il y a trouvé sur s litre-: