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55t leur poids; les bois blancs un peu plus, o,o3o.
FUSION DES MINERAIS DE FER
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.
Poids et volume de plusieurs charges. 10 2 I
Une plus longue exposition dans la même
kil, du bois ordinairement employé,
contenant environ =, d'essences tendres, occupant un volume de on" ,67, ont -été retirés après trois heures de séjour dans le four. Le poids était réduit à izu kil. , le volume à on" ,58. Plusieurs morceaux A de bois tendres et durs,
diversement colorés, ont été enfermés dans des bocaux pour être soumis aux essais calorifiques. 20 217 kil., au volume o"° ,6, restèrent quatre heures trois quarts au four. Retirés, le combusible pesait 5 kil., au volume on" ,51. Morceaux 13 assortis, mis de côté. 30 217 kil., au volume orne ,67, restés cinq heures, ont donné 102 kil., au volume on" ,39. 'Morceaux C.
40 217 kil,, au volume 0'10,67, restés cinq heures et demie , ont donné yo kil., au volume on" ,37. Morceaux D. 50 217 kil., au volume on" ,67, après six heures et demie, Ont produit 85 kil., au volume Onw ,35. Morceaux E.
chambre, où l'on ne fit point de feu, ne diminua pas davantage leur poids. Ces 2 p. constituent l'eau de mouillage qu'une première impression de l'air sec peut enlever.
20 Afin de déterminer exactement la quantité d'eau hygrométrique qui se trouvait dans le bois brut, des copeaux très-minces furent placés dans le four d'un poêle, dont on régla la température, qui ne dépassa pas ioo°. Au bout de trois jours, la couleur n'avait point changé, et le bois paraissait très-sec. Mais on sait qu'une température de ioo° n'enlève pas toute l'eau hygrométrique du bois, et qu'il faut graduellement arriver jusqu'à brunir celui-ci pour le rendre parfaitement sec. La température du poêle fit donc un peu élevée, et on l'amena environ à ; 300. Les copeaux commencèrent à brunir. Ils furent maintenus pendant quelques heures à cet état. Dans la dernière heure ils furent pesés quatre fois, et les trois dernières pesées donnèrent un résultat identique. La perte en poids se trouve les 0,2-5 du poids
primitif, y compris l'eau de mouillage qu'un premier instant dissipe. 30 L'essai avec la litharge, fait sur trois parties,
Essais sur le bois en nature. Des échantillons des cinq essences, chêne, charme; hêtre, .tremble, saule , qui constituent à peu près tout le bois employé à Haraucourt, ont été soumis aux essais suivants: 1° Ces bois étant humides, des rondelles trèsminces, enlevées avec une scie fine> ont été exposées à l'air dans une chambre sèche. Au bout de
deux jours; ils avaient perdu environ o,o25
A L'AIDE DU BOIS EN PARTIE CARBONISÉ.
de
donne en moyenne pour les bois durs 12,65 de plomb, d'où il suit que le bois équivaut à 0,372 de carbone.
La moyenne de trois essais sur les bois tendres
donna 12,26 de plomb, d'où quantité équivalente de carbone 0,36.
Résultat qui fait voir, qu'à poids égal, les bois durs et les bois tendres sont également riches en matière combustible.