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A L'AIDE DU 1301S EN PARTIE CARBONISÉ. 571
FUSION DES MINERAIS DE FER
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première a'
fixe ; la seconde c' d' mobile
autour du point e', comme centre ; el" est une
tige qui porte l'anneau ,d,1./il, dans lequel est serré
le tuyau. Les matières qui se condensent viennent tomqui les verse dans un canal ber dans le godet en bois placé parallèlement à tous les tuyaux de distillation. Ce canal va verser ses produits dans un tonneau placé à l'extrémité. On porte le bois sur le plancher P; on charge par la porte de dessus P"; on défourne en p" dans l'étouffoir dont on voit la coupe. La fig. 5 est une coupe en travers entre deux fours contigus , par le plan vertical passant en K ( fig. 2). Ce plan coupe la colonne de support, une porte du canal des gaz , une brique qui permet l'entrée de l'air, la lame de devant, la cheminée qu'elle supporte P Q , et la coulisse T T'. b", b" représentent la coupe des lames de fonte qui règnent le long des fours, et qui constituent le chemin de fer sur lequel roule le chariot qui Marche des gaz combustibles.
conduit la charge au gueulard. En sortant du gueulard G (
fig.
2 ), les gaz,
dont l'enveloppe seule est enflammée par sa com-
binaison avec l'air ambiant, commencent à s'enfoncer un peu pour aller gagner l'ouverture FF (
fig.
2
Cette ouverture est élevée au-dessus du niveau du gueulard; le petit massif F F sert de pont.
La quantité d'air extérieur, que l'on veut introduire et combiner à la sortie même du gueulard,
est modérée à volonté au moyen des portes H, H.
En circulant dans le canal D D
(fig.
flamme échauffe les plaques de dessous I.
3 ) , la
Un espace libre K
(fig.
2, 3 ) , permet aux
gaz de s'élever en léchant les côtés. Les conduits L, L leur permettent aussi de se rendre derrière la plaque M (fig. 2 , ). Les petites Ouvertures a, faites dans les plaques de côté, servent d'issue à la flamme qui a échauffé
la surface M. Cette flamme est libre alors de se rendre le long de la partie supérieure de la plaque latérale, en siiivant le chemin R'S' (fig. 5),
dans la cheminée P Q placée entre deux fours contigus. Une portion de cette flamme latérale se rendra par les trous b, b contre la face de devant clans la partie R
(fig. 4).
Quant à la partie de la flamme (lui, venant de dessous la plaque de fond , circule en s'élevant clans
l'espace K, suivant que la plaque horizontale T T' aura la position t t'ou TT', elle suivra le chemin V Y T' t'T pour se rendre dans la cheminée où
elle prendra la route VY Tt. Dans le premier cas, elle échauffera principalement la partie postérieure de la plaque de côté; dans le second cas,
elle échauffera la partie antérieure. La plaque T T' est donc mobile le long des tasseaux x x , qui font partie des plaques de côté. On la fait mouvoir avec un crochet qu'on intro-
duit de X en T, en ôtant la brique X représentée aussi dans l'élévation (fig.
(fig.
5),
1).
Cette brique permet en même temps de nettoyer le fond de la cheminée. Les petits regards r,r,, ménagés clans les portes du canal des gaz (Ar. ), correspondent à
des ouvertures pratiquées dans la face opposée des fours ; on peut se procurer ces ouvertures en