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NOTICE SUR LE leRRL1,7;
suite rendue variable et contenue entre des limites .assez écartées
Si, au contraire, on adopte pour N une
moyenne prise sur deux ou trois heures consécu-
tives, et que l'on continue ensuite pendant un temps égal toutes choses égales d'ailleurs, on arrivera pendant la seconde période à un résultat presque identique avec le premier. Cette fixité dans les indications du frein semble annoncer déjà d'une manière assez précise que ces indications sont suffisamment justes; au reste, il suffit de récapituler les diverses causes d'erreur que nous avons signalées pour apprécier le maximum de l'erreur totale possible, et l'on verra que ces limites sont assez rapprochées pour que les résultats obtenus à l'aide du frein précédemment décrit, ne puissent pas être contestés par les praticiens: En effet, quand l'appareil est bien manoeuvré, les seules causes d'erreur appréciables sont 10La non concordance du centre de gravité du Total maximum des erreurs collier du frein avec l'axe de l'arbre de couche que Fors peut commettre en ( dans tous les cas où cette concordance ne peut manuvrant pas avoir lieu).
convenablement
le frein.
2° Le frottement sur son axe de la poulie x-, fig. 9 et 28 , et la roideur des cordesj empioyées.
Sur la première de ces causes, nous avons vu qu'on pouvait toujours disposer l'appareil de telle (1) Si l'on ne faisait fonctionner le frein que pendant une fraction de minute, comme cela est arrivé à quelques expérimentateurs, on pourrait faire donner à une machine une force plusque double de sa force normale , à cause de la puissance accumulée dans le volant.
io5 sorte que la variation de la plus courte distance; DYNAMOMÉTRIQUE.
mesurée horizontalement entre l'axe de l'arbre de couche et le centre de gravité du collier, ne. fût que de de cette longueur. Or, d'après ce qui a été dit sur le poids qi , il est facile de voir que si ce poids est juste pour la position horizontale du bras de levier, il deviendra trop fort de -5,i dans les positions extrêmes, et comme sa pesanteur maximum est de 4o kilog , quand le bras de levier est bien fait, il causera au maximum une erreur due 0k,726, agissant à l'extrémià un poids de 4,°, té du bras de levier du frein, et ce maximum sera réduit de moitié si, après avoir déterminé le poids
tp comme il a été dit, on le diminue de ok,363.
Quant à l'erreur causée par le frottement de la poulie x et la roideur des cordes, elle est due au poids p mentionné ci-dessus, et dont les diverses valeurs, selon les cas, sont indiquées dans le tableau page 102. On peut donc l'apprécier à priori, ce qui ne doit pas dispenser toutefois d'une vérification dans chaque expérience.
L'ensemble des causes d'erreur produit donc l'effet d'un poids égal à p augmenté de ok,363 au maximum, et agissant pendant l'expérience, dans un sens, soit dans l'autre, à l'extrémité du bras de levier du frein. En introduisant dans la formule (a) cette valeur du poids agissant à l'extrémité du bras de levier, on obtiendra la limite de l'erreur commise dans chaque cas. Si la vitesse de l'arbre
de couche est de 28 tours par minute, comme cela a lieu le .plus souvent dans les machines à vapeur, que le bras de levier du frein soit de 4 mètres, et que les forces à mesurer soient successivement io, 20, 3o chevaux, on pourra adopter