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NOTICE SUR LE FREIN
première aiguille. La seconde marche &me cent fois moins vite que l'autre, et parcourt une seule division (un centième de tour), quand celle-ci fait une révolution entière. L'inspection des deux cadrans donne ainsi pour chaque instant, sur le second, le nombre de centaines de tours faits par l'arbre de couche de la machine motrice, et, sur le premier, le nombre de tours faits en. sus du nombre rond de centaines. Les engrenages ayant tous été faits avec beaucoup de justesse, en acier fondu et en bronze, dans le compteur, ses indications sont parfaitement nettes et exactes. Les aiguilles sont mobiles à frottement dur sur -
les arbres qui les portent, en sorte qu'on peut facilement les ramener à zéro au commencement de chaque expérience, et il n'y à cepen-
dant pas à craindre qu'elles se dérangent ensuite d'elles-mêmes. Je note le temps écoulé pendant les observa-
tions, en employant une montre dite dinËé-
?lieur, à double cadran, renfermant deux mouvements indépendants l'un de l'autre et marquant les secondes. L'un d'eux s'arrête et repart à volonté à l'aide d'un arrêt mobile. Les aiguilles de celui-ci sont mises à midi au commencement de chaque expérience, en sorte qu'on y lit d'un coup d'oeil à chaque instant le temps écoulé depuis le commencement de l'ex-
périence. Le second cadran , marquant l'heure du jour , offre toujours les moyens d'une rectification facile dans le cas où l'on. aurait fait une erreur en notant l'heure indiquée par le premier.
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DYNAMOMÉTRIQUE.
Ces divers instruments étant en place et prêts McAure de la force et de la fonctionner,.si j'opère sur une machine à va- consommation
peur dont on demande à connaître en même temps la force totale et la consommation en cornbustible par force de cheval et par heure, je char-
en charbon dlun machine
.peur.
.ei «
ge les soupapes de la chaudière, après vérifica- Charge des de non de leur bon état, de manière qu'elles se sou- soupapes la chaudière. lèvent au moment où la vapeur atteint la tension marquée par le timbre que porte cette chaudière. Les poids nécessaires sont donnés par la for-
C(n ) mule
FD'+ d' -
Ir
(1)
2
dans laquelle C
la charge directe
SUT
cha-
que soupape. D
le diamètre du bord exté-.
d
le diamètre de l'orifice fer-
n
le numéro du timbre que
rieur de la zone de contact.
mé par la soupape. porte la chaudière. La charge directe étant connue, on calcule le poids à suspendre au bout du bras de levier, dit romaine, en tenant compte du rapport inverse des bras de levier et de la charge directe exercée sur la soupape par le proprepoids de la romaine; il est facile de mesurer immédiatement
cette dernière charge par expérience, à l'aide d'un peson pouvant indiquer les quarts de livre. (1) M. Tremery, ingénieur en chef des mines, a eu la bonté de me communiquer cette formule, qui est le résultat de 1,800 expériences faites avec grand soin, sur le rapport qui existe entre la pression dans la chaudière et la charge nécessaire sur les soupapes de cette chaudière.