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DANS LES TUYAUX DE CONDUITE.
MOUVEMENT DE L'AIR
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de difficulté, d'après ce qui vient d'être dit. On établirait l'équation du mouvement de l'air, dans .la dernière partie de la conduite qui précède cet étranglement, partie que l'on regarderait comme l'orifice d'écoulement de cette conduite. Cette .équation serait de même forme que l'équation (3), et fi y désigneraitraire du passage que Pair doit traverser. Puis on établirait l'équation du mouvement de l'air, dans la partie de la conduite qui suit le rétrécissement , dans l'hypothèse que la force élastique de l'air n'augmente pas après le rétrécissement , quoique sa vitesse
diminue. La dernière des équations que l'on
formera sera relative à la dernière portion de la conduite, si celle - ci est entièrement ouverte, ou à l'embouchure de cette dernière partie, si elle est terminée par une embouchure. Dans l'un et l'autre cas , le premier membre de cette équaa('); et a (") sera ici égal à o, tion sera : puisque la force élastique de l'air, qui franchira l'orifice d'écoulement de la conduite totale , sera égale à la pression extérieure p,. L'addition, mem-
bre à membre, de toutes les équations simultanées (i), (2 ) (3), etc. , fera disparaitre toutes les inconnues auxiliaires a', a", cr.., a('-'), et cette équa-
tion finale de laquelle on tirera la valeur de la
2.((er
dépense, en fonction des pressions p. et 13,, sera:,
pi
2g
t3.1[21/.
2p.2if)
à11).'
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q-'-'est le rapport du poids du mètre cube d'air P, sortant par l'orifice d'écoulement, à la tension de cet air, qui est celle de l'air extérieur. Q est le volume d'air sortant, mesuré à la température T, et sous la pression pt. Le signe indique une somme de termes, de même forme que celui qui est inscrit sous ce signe.
La somme ./( ,11,2412 ) se rapporte aux passages de l'air d'une conduite dans une autre. est la section de la conduite, dans laquelle l'air la section de la conduite qui précède immédiatement, et d'où l'air passe dans la seconde. entre ;
1+0,00375T , 1+0,00375 e
t' désignant la température de l'air au passage d'une conduite est égal au rapport
dans l'autre; th le coefficient de réduction qui convient à la forme de l'embouchure. Il est égal à i, si le passage a lieu, sans perte de forces vives ; (nous avons dit dans quel cas cela est possible ) : dans
tous les autres cas, on peut prendre
Les- doubles termes ,,I.eal2 A/121.12 sont généralement tous positifs, d étant plus petit que D. Il faut cependant en excepter le cas que nous avons indiqué, avec détail, où Fair passerait d'une
conduite plus étroite dans une autre plus large, G
L+21os.à
mais néanmoins de dimensions peu différentes de la première, et où le passage aurait lieu dans une
embouchure évasée, se raccordant bien, avec l'une et l'autre conduite. Dans ce cas, le coefficient p. devrait être pris égal à i , et l'on 'aurait le terme négatif: Dans toute autrg
e,à1-11.
Ici, ir est égal à 11`