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DES PLATES-CUVES PORTANTES.
NOTICE SUR LA CONSTRUCTION
et à l'expérience de M. l'ingénieur des mines De Vaux, alors chargé. du service du cinquième district, et de IVII:-OrbanVrun de ses principaux a ctionn ai regyA;iteeep ta 'd'exéCu
et elle eut
le bonheuercrtitheneill'bieri'; sous leur prudente direction ';les'platest,étiveS'i, 2,' 3, 4, 5 et 6, ainsi que les cu-vélages104; 0'0', PP, 'PT', indiqués à
la Pl. ri i\figtl. Ces
1"1
0et difficiles constructions.
eurent'lléVeCessiVement , au fur et à Mesure que les' eatieddaient le terrain à l'actioncontinue et réunide qatlr'e machines à vapeur d'épuisemeri`d et d'ilfie machine à vapeur d'extraction, représentait, ensemble, 416 chevaux de force.
J'aurais. beaucoup désiré pouvoir suivre dans tous ses "détails-'; l'exécution de chacun de ces important's travaux d'art; mais l'essence de cette notice ,s'yl?PpOse , et m'oblige à me renfermer dans lisPécialité que je m'y suis donnée à traiter, la construction des plates-cuves. Bien que toutes, dans l'exemple que j'ai choisi, aient été exécutées dans le même but et avec les mêmes soins,je,donnerai cependant la préférence à la platercuve (fig. 2) , parce qu'elle est celle dont l'exécution a été la plus indépendante, et que j'ai surveillée lors de sa reconstruction en 1835 (1). L'ancien puits d'extraction abandonné, dit de la Vigne, .qui devait la recevoir, affecte générale. (t) A cette époque j'ai constaté la nourriture d'eau des couches Rosier et Pestay,, aux bures de la Vigne et des Baneux elle était de 2111. cub,,10 par minute.
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ment la figure d'un rectangle irrégulier dé 5m,20 de long sur 3-,34, à peu près.,:ele ,largeur. La roche de ses parois nsoieensement interro-
gée et reconnue parfaite*sai»eàmixe,distance inférieure de quelquesi.-Wtres..4.0','::new de la couche Pestay, on comtn.epe*-,eelexécuter en ce
point, et sur tout le pourto« dUlniitsfeune entaille ou banquette horizontale ,(fit,j,% Ode cr,35 dans les courtes parois, et o7e4,9,dans,les longues,.
destinée à supporter la charpente copstituant la plate-cuve. Cette opération , confiée. à des ouvriers sûrs et exercés, fut entièrement exécutée au
pic, d'abord pour ne point étonner la pierre, ensuite afin d'obtenir de toutes parts des plans vifs et bien unis. Lorsque cette coupure fut achevée et vérifiée de niveau, on la revêtit d'un châssis en bois de chêne, de même largeur qu'elle, et de om,12 d'épaisseur. Ce cadre K 4), destiné en même temps à protéger la roche et à faciliter le jeu des pièces de cuve au moment du picotage, avait été, au préalable, et dans ce double but, dressé sur ses deux grandes faces, de manière, à les rendre aussi lisses que possible.
Ce travail préparatoire convenablement terminé, on s'occupa, sans désemparer, de la mise en place des poutres ou pièces de cuve ; celles-ci. étaient en bois de hêtre, et d'une largeur moyenne de o",45 sur o"',55 environ de profondeur; quant à leur longueur, qui dut nécessairement varier un peu par suite de l'irrégularité des parois du puits,
elle fut ainsi calculée qu'il restât, entre leurs extrémités et les longs côtés de celui-ci, auxquels elles étaient perpendiculaires , un vide ry et y' (fig. 3), de om,04 à o'n,o5. Toutes ces pou-
tres, destinées à être placées de champ, avaient