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EXTRAITS.
CIIIIVIIE.
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Molybdène. . Chlore Oxygène
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0,481?.
0,357 0,161 1,000
On peut encore obtenir ce chloride en mêlant de l'acide molybdique avec du sulfate de potasse,. y ajoutant de l'acide sulfurique concentré, évaporant dans une cornue jusqu'à ce qu'il ne se dégage plus d'acide sulfurique, et chauffant ensuite avec du chlorure de sodium. Les acides contenant i at. de radical pour 3 at. d'oxygène paraissent être seuls susceptibles de s'unir aux chlorides qui leur correspondent, et qui probablement ne peuvent pas exister à l'état isolé. mangarti,..
Tout me porte à croire que le corps volatil nommé chloride de manganèse par M. Dumas, est de même nature que les combinaisons précédentes.
Soufre.
Je suis parvenu à produire le sulfate de chloride de soufre, mais sa composition diffère un peu de celle des chlorides que j'ai examinés.. 68. Sur le SULFATE DE PROTOXIDE
DE CÉRIUM ; par .
M. Otto. ( Ann. de Pog t. 4o, P. 44.)
Lorsqu'on évapore à une douce chaleur une
dissolution de sulfate de protoxide de cérium , on obtient une masse cristalline d'un rouge pâle de sulfate hydreux , dont la composition est représentée par la formule Ce 0 SU + 3 A. q. C'est encore le même sel qui se dépose lorsqu'on ajoute de l'alcool à la dissolution aqueuse. à la Mais quand on concentre cette. dissolution il s'en sépare de petits tcmpé,rature dé l'ébullition,
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.cristaux d'un rouge pâle, qui diffèrent du sulfate précédent en ce qu'ils contiennent moitié moins d'eau, c'est-à-dire -1 atome seulement. Si l'on fait digérer ces cristaux dans l'eau froide ils se dissolvent, et par l'évaporation à une faible chaleur de la dissolution, le sel à 3 at. d'eau se régénère. Sur la combustion DU FER; par M. R. Adams.
(Bibi. de Gen., t. 13, p. 195.) Une verge de fer d'un pouce environ de diamètre ayant été chauffée au blanc à l'un de ses bouts, puis exposée à un vif courant d'air froid partant de soufflets de grandes dimensions, le fer
devint aussitôt assez chaud pour fondre, et la matière liquide fut projetée , et brûla clans l'air avec toute l'apparence scintillante d'un fil de fer qui brûle dans le gaz oxygène. La barre de fer continua ainsi à brûler jusqu'à ce qu'il s'en fût consumé environ une livre. Pour que cette combustion du fer ait lieu, il. est indispensable qu'il ait été chauffé à une température très-élevée, sans quoi l'air le refroidirait très-rapidement au lieu de le brûler. Sur un HYDRATE D'OXIDE DE FER MAGNÉTIQUE;
par M. Wihler. (An. der Pharm., t. XXII , p. 56.) On prend deux parties égales de sulfate de protoxide de. fer. On en dissout une dans 8 à 12 fois son poids d'eau chaude, à laquelle on a ajouté un peu d'acide sulfurique. On chauffe la dissolution à l'ébullition en y ajoutant, par petites portions, -de l'acide nitrique jusqu'à ce .que tout le