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CIIIIIGE D6PENSE
AJUTEGE.
Diamètre de
l'orce. I
SUR L'ÉCOULEMENT DE L'EAU', ETC.
NOUVELLES EXPÉRIENCES
sur le
en
centre de
litres
germe.
`ce'
seconde.
2
3
Angle de
conver-
,
p., -1
0,96. Au delà de cet angle, il diminue faible-
COEFFICIENT
COONDONNiE
COEFFICIENT
de la dépense,
de Parc décrit
de la vitesse
Ilt
par le jet.
.,,..-. Par expe.-
Moyen.
'Weill-.
G
7
naio.
rience.
5
n,
..........,..........., Par
Hori- expé- Moyen zontale. ,,,non.
8
I0
9
1
0,01990
54°,12'
0,2147 0,6107 0 957 0,4856 0,9193 0,958 0,9964 1,3160 0,957 1,5014 46170 0,958 2,00So 1,8680 0,957
1,1442 0,9620 0,971 1,1396 1,4470 0,973' n58 1,1396 2,0620 0,968 1,1396 2,5300 0,967 0,8926 2,5990 0,971
,
'.
3,0334 0,2990 0,958
,60,3, 4'
i970,10
,1442 0,973 1,1396 1,4480 0,976 5 1,1396 2 , 0820 ,977 , , 320 050 (:)95 0,931 2,5360 0,969 i,4994 1,6360 0,951 0,8926 2,6060 0,974 2,0064 1,8900 0,950 a 3,0274 2,3240 0,951
021755
01,63230
0,951
0,4825 0,9278 0,950
0,9i'l
Résultats. En comparant, dans les cinquièmes colonnes, les coefficients de la dépense , obtenus avec un même ajutage, mais sous des charges très-différentes, 0n voit qu'ils sont sensiblement les mêmes
(peut-être y a-t-il une très-légèie augmentation sous la charge de 3a?). Ainsi dans les ajutages coniques la dépense est exactement proportionnelle à la racine de la charge et à la section de l'orifice.
En suivant, dans la sixième colonne, la série des coefficients moyens, pour des ajutages de même diamètre et longueur, nous voyons ces coefficients augmenter graduellement avec l'angle de convergence, mais jusqu'à l'angle de 13 de-
grés seulement, où le coefficient est de 0,95
ment, comme toutes les variables aux environs du maximum; à 20°, il est encore de 0,92 à 0,93. Mais ensuite la diminution devient de plus en plus rapide ; et il finirait par n'être plus que 0,64, coefficient des petits orifices en mince paroi, ces orifices étant le terme extrême des ajutages convergents, celui où l'angle de convergence a atteint sa plus grande valeur, 180°. Les dépenses, à égalité d'orifice et de charge étant proportionnelles aux coefficients, la plus grande dépense aura donc lieu sous l'angle de convergence de 13 à itC. 11 est très-vraisemblable que les coefficients de
la vitesse, comme ceux de la dépense, pour un même ajutage, mais sous des charges diffé-
- a
Dépense.
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rentes, auraient été sensiblement les mêmes , sans la résistance de l'air. Mais cette résistance diminuant la portée du jet, et d'autant plus que la il doit y charge est plus forte, car y= 2 avoir, dansles coefficients calculés, une diminution croissant avec la charge, quoiqu'en réalité il n'y en ait point eu dans la vitesse avec laquelle le fluide sortait ou tendait à sortir. Le plus souvent M. Castel n'a pu déterminer les vitesses de projection pour les charges au-dessus de 2'; le jet dépassait la longueur du plancher (la largeur de la terrasse), ou il se déformait beaucoup trop avant de l'atteindre. Les coefficients moyens de la vitesse, portés à la dixième colonne, croissent, à partir de l'angle o° , comme ceux de la dépense jusque vers io° puis ils augmentent plus rapidement ; et au delà de l'angle de plus grande dépense, pendant que les autres diminuent, ils continuent lie croître et de se rapprocher de leur limite 1; ils en sont déjà
Vitesse,