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ALLIAGE
DES MINES.
théorique pour obtenir la dépense réelle, la hauteur motrice nécessaire pour engendrer la vitesse V ne sera pas seulement égale à V' comme si les ..
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résistances, dont nous venons de parler, étaient 'titilles, mais bien, à , d e sorte qu'on obtiendra
la vitesse réelle, en égalant la lnteur .indfrke .
L'équation : Y'
-n
ii'M t'en éfl'etpour V la valeur
V=p qui coïncide avec celle déduite de l'observation dela
dépense, quand le coefficient p. est remplacé par la,valeur convenable au genre d'orifice.
,i6. Si le fluide contenu dans le vase C doit parcourir, avant d'arriver à l'orifice d'écoulement,. ,kiglong tuyau prismatique ou-,cylindrique , dont l'axe soit contenu çlans un plan horizontalde mou-
vement dufluideAans ce tuyau , fait-naitredes résistancesqiii absorbent une partie de l'effet:de la hauter, mottice; et la vitesse d'écoulement se trouve clirninit4e4D'aprèsles expériences del. d'An,
buisson, et dequelques autres physiciens, il paraît
que la résistance au mouvement d'une tranche de fluide, normale à l'axe du tuyau, est proportionnelle.. à l'étendue superficielle par laquelle cette tranche est contiguë aux parois du tuyau, à la densité, et au carré de la vitesse de la tranchei En partant de ces données l'analyse démontre que, si on désigne
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Par L la longueur du tuyau parcouru par le
fluide;
Par V la vitesse supposée uniforme , avec laquelle il Se Metit- dans le tuyau; Par l'aire dune section normale à l'axe du tuyau; .
Par p le périmètre de cette aire
Par 6 un coefficient numérique, que l'expérience doitudéterminer, la portion de hauteur motrice détruite parla:résistance du tuyan, au mouvement de l'air qui:le pecourt, est exprimée par :
eP g A-
experienees faites par M. d'Aubuisson sur deS'inyaux en fèr,à1anc , dofit fait varier le
ediüé et là ilV4iieur
-ôn'È irdinié pour
la
-vàrfei.fr de G uiehonihre qui 's'éloigne pet.i.'"de 4;ii,63de sorte idùé.rb&ptiurra adopter cette val leur dans les 'aiipliCations. -On suppose
ce Coefficient ,' 'indépendant .dé la nature cre4 parois de la cdrldnite. Cela est dh effet ainsi pour les liquides, niais on n'a pas d'eXPériences:c-onduantes à ce sujet,- pour les fluides 'aériforlkés.
'Si le fluidepaSsOiruh tuyau 4 darià un tiiYaii'B plus étroit (PI, IlI,fig 3), il.atigineiTte de vitesse en entrant daiiSee:dernier. Soit V là 'vitesse du fifluide dans le tuYaii. A, V' celle qu'il prend dansle tuyau B. Ces vitesses seront à très-peu près 'entre elles dans le rapport inverse des aires des sections transversales des tuyaux A :èt, B-;."41. là circulation od'I'écoulement dû fluide a 1.1.1' depuis un certain temps, et sous une ha-ilteil'it motrice constante. L'on démontre que l'excéS- dg
la pression du fluide à l'extrémité du iiiyari (14,e1 au ,nspi.
- tus')