Annales des Mines (1839, série 3, volume 15) [Image 78]

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AÉRAGE

DES MINES.

due de la conduite, qui appartiendrait-ACiine

portion horizontale ou verticale , comme- cela .a lieu dans le cas où le fluide est échauffé , en passant sur un foyer allumé,-ou en léchant des surfaces métalliques rouges faudrait considé4 ter cette partie de la conduite comme un tuyau à

part, et former séparément les termes du nu,

au.,çrateur et,dii dénominateur, qIi s'y rapportent. Les foramles générales que nous venons de développer, dans les deux cas de la température constante et de la température variable, peuvent

s'appliquer à une portion de coriduité,Aans laquelle circule le fluide, comme àrdarconduite entière. Par exeniple, si dans la conduite;(figi:5) .ou eonnaîtla.pression, qui a lieu, dans le fluide en ai«Uvement ,,dans une section' transversale K, »ormaie à l'axe; én ,même. temps que la pressiOn .sur l'orifice d'écoulement, ainsi que les autres données,relatives, soit à la forme de ;1à conduite, soie eux températures du fluide aie points principaux, on pourra.déterminer la depense get la vitesse V, tout ;Olimme si l'on connaissait lapressiondu fluide dansAe réservoir La hauteur mOtrice qui, multipliéepar 2g, forme-

rait le numérateur de l'expression sous* le radical se coinpSerait O alors daternie .13598

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flans lequele)et h'i seraientlesprésisillsreSpee-

tives'dans.la section K, et à l'orifice d'écoulement, exprimeesencolonnes de mercure réduites à o degré; etLbii`l,iaurait la même * signification que dansie cas précédemment discuté, et des autres termes, qui , dans la formule générale,-sont relatifs' aux' portions de la conduite, qui suivent la section K

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Quant au dénominateur, il se composerait de tous les termes qui, dans la formule générale, se rapportent aux parties de la conduite, qui suivent la section K, c'est-à-dire dans lesquelles le fluide circule, après qu'il a franchi cette section. Les équations, quidonnent les valeurs de V et de Q, peuvent servir à déterminer la pression qui a lieu, soit à l'origine de la conduite, soit en un point quelconque descelle-ci, lorsqu'on connaît la dépense réelle Q,* la pression sur l'orifice , 'f' . Càtilement, et les autres qu anutes ,..en; entrent dans les formules:: 1.-.)43.,11 résulte c-l.ës principes exposés préCédem-

ment , que si la conduite sinueuse A13CDEFGH pg. 5 ) débouche par. .ses deux extrémités dans'. PatrriOsphère , l'air qui la remplira , ne

, sera generalement en équilibre , que lorsqu'il eta partout à la Même température que dans l'airtioSphère : ea effet- pour l'équilibre, il faut que la hauteur motrice 'dont nous ayons donné l'expression 18, soit nulle. Or, Si l'on prolOisé*, par la pensée , le plan horizontal pas-

sant par l'ouverture A, qui se trouve ;.à un niyeau Pins élevé que H; jusqu'au-dessuslde,Celle'-ci , on sait que la pression atmosphérique serala même, dans toute l'étendu:é* de la coucherde-, niveau ,

'Contiguë à ce plan: ,Soit z la différence de niyeau HI .des deux Ouvertures. Il est permis de supposer que la branche *.bsil dé la: Çopduite se .) prolonge Jusqu'à ce plan, vers 1.;pourvu que l'on ajoute que la partie de Conduite; comprise entré , et :dont la hauteur verticale est z, a une section extrêmement grande, de sorte que, dans. )

le mouvement, l'air n'y prend qu'une vitesse insensible. Alors les pressions sir les deux