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26I dans ce cas, d'une distance égale .à la longueur de la galerie G G'. DES, .imNEs.
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AÉRAGE
de la galeexécutée aussi à un niveau différentcelle-ci; cette rie K Kt, pour ne point interrompre retourbranche se réunit aux précédentes, pour ner au puits B. portes régulatrices Il est inutile de dire que des ouvertures. réglées, doivent être établies, et leurs proportion convenable, de manière à établir une chacune des branches entre les volumes d'air de l'expérience et le ce qui ne peut se faire que par des portes tâtonnement. Les autres portes sont demeurer principales, dont les unes peuvent les autres doiconstamment fermées, tandis que la circulation vent s'ouvrir, pour les besoins dedoubles, ce qui intérieure : celles-ci sont toujours n'est pas indiqué dans la ligure. ou On remarquera que la division en groupes de poucompartiments, offre le grand avantage compléternent , en cas d'accident, l'un
voir isoler de la mine ; les masdes compartiments du reste ne, sont sifs épais, qui séparent les divers groupes, les on peut d'ailleurs pas perclus pour toujours ; l'on doit
exploiter à l'époque du dépilage, que les plus éloicommencer par les compartiments gnésdu puits. qu'il n'est aucuIl est aussi essentiel d'observer puits d'entrée et de nement nécessaire, que les côté l'un de l'autre. sortie de l'air, soient placés à puits A était situé à Ainsi, il est évident que si le près du bout G' de l'autre extrémité des travaux, demeurant où il est, la galerie G G', le puits B déboucherait iml'air descendu par le puits A, la circula. de sorte que médiatement au point G',s'opérerait de la même tion , dans les travaux , aucune des manière, sans qu'on eût à déplacer même abrégé, poiles indiquées. Le trajet serait
Enfin, plusieurs puits peuvent être mis en communication, et l'aérage petit être conduit de façon à ce que l'air, descendu par l'un d'eux, sorte par deux ou plusieurs puits différents, comme aussi l'air descendu par deux ou plusieurs puits,
peut se réunir dans un même puits de sortie. Toutes ces combinaisons diverses, que nous ne pouvons qu'indiquer ici , sont journellement
mises en pratique dans, un grand nombre de mines.
La fig. 2 PI. X, montre comment 9n. peut commencer le Creusement d'un petit nombre de galeries, au bas d'un puits unique P. Celui-ci doit alors être divisé en deux compartiments, par une cloison eu bois, ou en maçonnerie, imperméable à l'air, qui se continué, depuis le jour, jusqu'au
fond. L'air, entré par l'un des compartiments remonte par l'autre. 11 est forcé, au besoin, de circuler jusqu'au fond des galeries; par des cloisons verticales en bois, ou en briques, qui se prolongent , à mesure de l'avancement, jusques tout près de l'extrémité des galeries. Les cloisons en briques, établies dans les galeries les plus larges, sont indiquées par des hachures. La figure n du reste, besoin d'aucune explication. La fig. 3 de la même planche représente les cloisons que l'on établit, pour forcer fair à circuler jusqu'au fond des tailles ou galeries en voie de creusement, lorsqu'il s'y dégage une ;quantité assez grande de gaz irrespirables, pour qu'ils ne puissent pas être suffisamment entraînés par le courant, qui circule dans les galeries voisines. Ces cloisons, qui ne sont que temporaires, sont