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446 complétement oxidé en le chauffant avec carbonate de potasse et 2 p. de nitre.
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L'osmium est facilement précipité, même de ses dissolutions alcalines, par l'aeide formique. Il se présente alors sous forme d'une poudre d'un bleu foncé, tellement combustible qu'elle dé-
NOTICE Sur une disposition nouvelle de tiges de sonde,
employée en Prusse dans les /orages trè,s, pr9fbnds ;
tone avec le chlorate de potasse. Par M. F. LE PLAY, Ingénieur des mines.
0. Addition à la notice sur la dissolution de Pnunrem; par M. Fellenberg. (Bibliot. univ. de
Genève, t. i5, pag. 193.) L'examen des dissolutions d'iridium obtenues par le procédé que j'ai décrit dans le numéro de juin 1837 de la Bibi. unir'. , m'a fait voir qu'elles contenaient toutes des sels alcalins. Eu répétant çes expériences sur du sulfure d'iridium préparé en précipitant des dissolutions d'iridium par de l'hydrogène sulfuré, et en traitant ces sulfures par le chlore, ceux-ci se décomposèrent bien en chlorures, mais ces chlorures étaient insolubles dans l'eau et dans les acides simples. En variant ces expériences , et en les répétant après avoir ajouté aux sulfures un peu de sel marin je découvris que mon procéde de dissolution de l'iridium , au moyen du chlore et de l'emploi du sulfure , ne réussit qu'autant que celui-ci contient un alcali, et qu'il se confond par conséquent en entier avec celui de W6hler, qui consiste à faire passer un courant de chlore sec sur un mélange d'iridium et de sel marin. Le chlorure formé en traitant du sulfure d'iridium par du chlore, est un simple chlorure insoluble, et aucune chaleur, ni aucun excès de chlore n'est capable de le transformer en sesqui-chlorure ou en chlo ride.
L'objet de cette notice est de faire connaître en France une disposition nouvelle et fort ingénieuse, que M. d'Oeynhausen , conseiller supérieur des mines de l'arrondissement de Bonn, vient d'enk-r
ployer avec un ,succès complet dans le sondage que le gouvernement prussien fait faire à la saline de Neusalzvverk , près de Minden, pour la cherche de sources salées.
Deux méthodes principales sont aujourd'hui dans l'une on suspend, au moyen d'une corde, l'outil à l'aide du, quel on perfore le sol ; dans l'autre, cet outil est. employées, pour-le sondage
attaché à l'extréffilté d'une:tige rigide métallique, ordinairement tomposée,:.d'éléments, assemblés h
vis ou par enfourchement. ChaqUe méthode a ses avantages et ses inconvénients, et c'est surtout
la nature du terrain à traverser qui doit déterrnii ner le choix à faire entre elles. L'expérience sem, hie indiquer que les localités dans lesquelles on peut employer avec succès le sondage à la corde sont beaucoup plus restreintes qu'on ne 1'avait d'abord pensé; aussi, lorM1474;§'aglt .cile fore Mie