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544 SUR LES TERRAINS DE LA VALLÉE DU DONETZ.
Ffeunr 7. Élévation du flanc droit de la même vallée à 1.000 ou 1.200 mètres en amont de la coupe précédente. Plongements convergents de grès et de schistes. Au milieu des couches de schistes indiquées à gauche, il y a des rognons de fer carbonaté.
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RECIIERCIIES
Sur la composition des gaz des hautsib urneaux, et sur le parti qu'on peut en tirer comme combustible (t);
FIGURE 8.
Élévation du flanc gauche de la même vallée à peu de distance de l'emplacement de la figure précédente.
Par M. EBELMEN, Ingénieur des mines.
Plongements convergents de couches de grès. FIGURE 9.
Élévation du flanc gauche de la vallée de la Riguine, vers le milieu de son cours. Plongements convergents ; rognons de fer carbonaté intercalés par couches entre les grès et les schistes ; blocs calcaires roulés , provenant du plateau qui domine la vallée.
FIGURE 10.
Élévation du flanc gauche de la vallée de la Riguine , à deux kilomètres environ , en aval de l'emplacement de la figure précédente. Plongements convergents. Le sommet à gauche est composé de grès schisteux et de calcaire fossilifère. Les petits traits noirs indiquent des affleurements de houille. FIGURE 11.
Flanc gauche de la vallée de la Kamenka , au-dessus du village du même nom. De grandes assises de grès et de calcaire couronnent les coteaux, dont la partie inférieure est composée de schistes ardoisiers. FIGURE 12.
Esquisse prise à 20 kilomètres environ à l'ouest de Lougane. A, Cône de craie au milieu des grès et des schistes de la formation carbonifère. Cette figure et la précédente peuvent donner une idée de l'apparence du relief du pays, aux bords des vallées. Mais à une distance peu considérable du flanc du coteau, commence la steppe presque toujours horizon tale.
L'emploi , comme combustible , des flammes qui se dégagent des hauts-fourneaux et des autres foyers destinés au travail du fer, est un des perfectionnements les plus importants que la (1) A l'époque ou les expériences qui font l'objet de ce mémoire ont été entreprises, j'ignorais que M. Bunsen se fût occupé du même sujet, en analysant les gaz pris à difféde Veckerrentes profondeurs dans le haut - fourneaudes résultais hagen. Après avoir pris communication
obtenus par ce chimiste, je me suis décidé à publier ces premiers essais par les considérations suivantes les procédés que j'ai employés sont tout à fait différents de ceux de M. Bunsen, et présentent, je crois,
au moins autant de garanties d'exactitude en second lieu, les résultats des analyses sont loin d'être les mêmes, ce qui tient sans doute à la différence que présentent les roulements des fourneaux de Veckerhagen et de Cierva'. Enfin, si le procédé que j'ai suivi ne m'a pas permis de déterminer séparément la proportion d'hydrogène et celle d'hydrogène protocarboné , les analyses eudiométriques de M. Bunsen ont été faites sur des gaz dépouillés de vapeur d'eau, corps qui n'a point été dosé. J'ai pensé d'ailleurs que la publication de nombreuses analyses de gaz de hauts-fourneaux dans des circonstances variables de roulement était un dcs meilleurs moyens d'éclaircir ce qu'il peut y avoir d'obscur encore dans leur théorie.
Tome XVI, 1839.
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