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FORMATION D'ARGILE PLASTIQUE
DE LA CHAPELLE ( SEINEETOISE
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dont la pente est très-prononcée sur cette partie du coteau calcaire, a rendu plus facile l'étude de ces divers terrains. Les principales recherches n'ont pas eu lieu cependant sur ce point, mais
trou, ainsi qu'à appuyer les tiges pendant leur manoeuvre; le tout était surmonté d'une chèvre.
bien sur celui opposé relativement à la route
mentier, maréchal, en prenant pour modèles
royale, c'est-à-dire à 3 ou 400 mètres au nord de cette route. C'est au lieu dit le Pu sec, près le chemin de Premières recherches faites à Parme, que les recherches dont il s'agit ont été découvert. entreprises, et faites d'abord à découvert à la partie inférieure du coteau, par un défoncement dans
lequel, après avoir pénétré peu profondément au milieu de la glaise verte, on a atteint bientôt une couche de lignite, épaisse de 1111,30 environ.
Sur un autre point placé au même niveau, mais plus rapproché de la grande route, on a retrouvé
la même couche, dont l'épaisseur était là de près de 0111,65. On a retiré de ces deux fouilles
une assez grande quantité de lignite, dont une partie a servi à faire quelques essais de ce combustible sur les lieux mêmes; mais il n'entre pas dans le plan de cette courte notice de parler avec quelques détails de ces essais. Recherches fai-
Dans le but de reconnaître si la couche de
tes par le "il- lignite découverte prenait plus de puissance en dage. s'enfonçant sous le terrain supérieur, un sondage fut entrepris dans un emplacement choisi à peu près à mi-côte, à 8o mètres environ de distance du premier défoncement dont il vient d'être parlé. Après avoir pratiqué dans les sables de la surfàce une fosse carrée de 2 mètres de côté et d'autant de profondeur, boisée avec soin et garnie de palplanches, on a ouvert au milieu de cette fosse un trou de sonde, en plaçant d'abord une boîte car-
rée destinée à soutenir les terres à l'entrée du
Les outils de la sonde employée avaient om, Io de diamètre, et ils avaient été forgés par le sieur Par-
ceux employés par une compagnie qui faisait des recherches dans les environs de Mantes. A 7 mètres
de profondeur totale, à partir du sol, on a rencontré la couche de lignite, qui s'est trouvée sur ce point avoir i mètre de puissance ; elle était recouverte de 1111,50 environ de glaise verte ou jaunâtre, renfermant de grosses huîtres fossiles semblables à celles dont il a déjà été parlé plus haut, et de plus beaucoup de débris crayeux d'autres coquilles ; ces derniers se trouvaient égale-
ment dans les défoncements faits à découvert, et leur examen m'a prouvé qu'elles étaient pour la plupart d'origine fluviatile. C'est un nouvel exemple de ce mélange que l'on observe presque
toujours dans les bancs supérieurs des argiles plastiques, de corps organisés d'eau douce avec d'autres corps organisés marins.... La masse de sable siliceux qui a été décrite précédemment repose sur ce premier banc d'argile plastique : on a continué de sonder jusqu'à i 1m,50 environ de profondeur au-dessous de la couche de lignite, et l'on a constamment traversé de l'argile marbrée , c'est-à-dire de diverses couleurs, jaune, verte, rouge, sans trouver jusque-là d'indice d'une seconde couche de lignite. En s'élevant au-dessus du sondage dont il vient caFrià,e ouverte
d'être parlé jusque sur le sommet du coteau ,dans rinle "1"1" on rencontre une carrière de pierre à bâtir :na dans laquelle a été commencée une exploitation
à ciel ouvert, donnant d'assez belle pierre de