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cumr,
d'acide carbonique et de 21 d'oxygène , de même que dans un mélange de 21 d'acide carbonique et
de 79 d'oxygène. Une bougie brûle cependant avec vivacité dans ce dernier mélange, ce qui prouve que., dans les localités qui donnent des motifs de suspecter la présence de l'acide carbonique, la combustion de la bougie n'est pas toujours un indice de l'absence de ce gaz. La proportion d'acide carbonique dans l'air expiré par les animaux à sang chaud est de 12,75 p. 0/0, et pour les animaux à sang froid, de 13,116.
EXTRAITS.
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l'évaporation n'est pas due à une affinité chimique entre la vapeur et l'air, mais elles confirment l'opinion que l'obstacle à cette évaporation dans l'air libre est plutôt dû à la pression qu'à la force d'inertie des particules de l'air. Je crois que la fabrication de l'acide sulfurique serait accélérée par l'admission régulière de la va-
peur d'eau clans les chambres de condensation
maintenues à une température élevée et constante.
12. Production particulière de l'ACIDE SULFURImité de l'ACIDE SULFURIQUE pour l'eau;
par M. Watson. (S. R. de Londres, juin 1838.) (Institut, 1839, n° 278.) En plaçant des portions d'acide sulfurique concentré pesées, ensuite étendues de quantités connues d'eau sous le récipient de la machine pneumatique, à côté de capsules contenant des portions égales d'acide concentré pur à ,8428 de densité, j'ai reconnu que l'acide étendu se concentrait et était amené à la densité de 1,814, à une tempé-
rature qui peut varier de 65 à 67° F., et que de l'acide de cette force dessèche un espace vide quand la température n'excède pas 57°.
Au milieu de l'air atmosphérique, lorsque l'affinité de l'espace pour la vapeur, ou la force d'éva-
poration, est égale à 0,75 pouces de mercure, elle balance exactement l'affinité pour l'eau de l'acide sulfurique à 1,249 de densité. La force d'évaporation de l'air s'exerçant sur un
pareil acide est moindre que celle du vide à la même température. Mes expériences prouvent que
QUE; par M, H. Rose. ( Ann. de Pogg., t. 4j, p. 16 1.)
On sait que le gaz hydrogène sulfuré ramène à des degrés d'oxydation moindres les oxydes les plus avancés de quelques métaux. En général cette réduction a lieu avec formation d'eau et dépôt de soufre; mais j'ai reconnu que, dans quelques-uns, il se forme en même temps une quantité très-notable d'acide sulfurique. Avec l'acétate de fer ou le chloride en dissolution à froid il ne s'en produit pas du tout; mais si l'on chauffe la dissolution du chloride , on trouve de l'acide sulfurique dans la liqueur. Si l'on ajoute de l'acide acétique ou de l'acide hydrochlorique à une dissolution étendue de chro-
mate de potasse neutre, et qu'on y fasse passer ensuite du gaz hydrogène sulfuré, il ne se forme pas du tout d'acide sulfurique quand les dissolutions sont froides ; mais il s'en forme si ces dissolutions ont été préalablement chauffées. L'iodate de potasse ou de soude en dissolution est décomposé par l'hydrogène sulfuré avec for-