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Ek'ÈRAlTS.
419 d'oxyde de fer, puis qu'on fasse bouillir jusqu'à ce qu'il ne se dissolve plus de cuivre , qu'ensuite on décante la liqueur, qu'on lave bien à l'eau distillée le cuivre non dissous, puis qu'on le sèche et qu'on le pèse, on connaîtra par la différence de poids combien il s'est dissous de cuivre, et par suite il sera aisé de calculer la quantité d'oxyde de fer que renfermait la liqueur. Lorsque l'oxyde et l'oxydule de fer se trouvent
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avec un fort grossissement, paraissent tout à fait amorphes. J'ai obtenu par le carbonate de soude à froid un précipité tout à fait semblable à l'hydrate d'alumine , devenant corné et translucide'par la dessiccation.
48. Combinaison du PROTOXYDE DE FER arec le Marchand. (.1. fur FER MÉTALLIQUE; par M.
ensemble dans un même composé, il y a deux expériences à faire pour les doser. Dans l'une on opère comme il vient d'être dit, ce qui donne la proportion de l'oxyde ; dans l'autre, l'oxydule est d'abord ramené au maximum d'oxydation ; puis on dose la totalité de l'oxyde ; et, en retranchant de ce poids total le poids précédemment obtenu,
chem. 1839.)
Lorsque l'on brûle du fer dans le gaz oxygène, il se forme de l'oxyde de fer salin ; mais quand on opère cette combustion dans le gaz détonant l'on obtient des écailles minces, faciles à pulvériser, qui ne contiennent que o,o686 d'oxygène, et qui peuvent être considérées comme formées d'un atome de protoxyde de fer et de trois atomes de fer métallique.
on a le poids de l'oxyde qui provient de la suroxydation de l'oxydule.
Pour obtenir des résultats certains , il est né-
cessaire de prendre toutes les précautions qui vont être indiquées : 10 Le cuivre que l'on emploie doit être pur et exempt d'oxyde ; il est bon pour cela de le préparer soi-même, en précipitant du sulfate de cuivre
4g. Méthode simple pour doser le FER clans les mines de ce métal, ainsi que dans d'autres composés ferrugineux, et pour déterminer le à rOXYDULE ; par rapport de l'OXYDE DE FER 1839, f0 I t.) M. Fuchs. ( J. d'Erdmann , Cette méthode est fondée sur la propriété qu'a le cuivre de n'être pas attaquable par l'acide muriatique , à l'abri du contact de fair, et de se dissoudre dans cet acide lorsqu'il y a présence de l'oxyde de fer, en ramenant cet oxyde à l'état d'oxydnle , et en s'oxydulant Si donc on met une quantité de cuivre exactement pesée dans une dissolution d'hydrochlorate
par le fer, et faisant bouillir le précipité avec de l'acide hydrochlorique. On fait ensuite fondre ce cuivre, puis on le lamine et on le coupe en bandes de 3 à 4 lignes de largeur ; on doit aussi, avant de s'en servir, faire bouillir ces bandes dans de l'acide hydrochlorique, parce qu'elles sont toujours recouvertes d'un peu d.'oxydule, ce qui rendrait l'essai inexact. 100 d'oxyde de fer déterminent la disso-
lution de 8o de cuivre. 2°
flM
L'acide doit être pur et assez concentré, et Tonw xvir, 184o.