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PoRPrivras TERRAINS DE TRANSITION ET
après le quartzifères, sortis du sein de la terre dans dépôt du grès, ou enfin très-probablement Cette tempéraces diverses circonstances réunies. des grès anture élevée .a transformé une partie tellement dures, compactes thraxifères en roches complétement fait dispaut cristallines , et a si stratification , en y substiraître tout indice de division pseudo - régulière en tuant même une que je les considérais pencolonnes prismatiques, des porphyres verts. dant fort longtemps commede
- pluAu reste, je n'étais pas seul mon opinion
le nom de sieurs géologues les ont décrits sous Thury, M. Héricart de porphyres, entre autres verts, dans sa porphyres comme n2daphyres et (Ami., les mines de Fragny notice géologique sur , comme 3e série, tome i2, pag. 47) : M. Rozet dans le Bulletin mémoire inséré diorites , dans un Dufresnoy, l'une de de la société géologique : M. granite à très-petits grains, ses variétés, comme plateau central de dans ses Considérations sur le de la Frauce la France (Description géologique tom. I, pag. 257). porphyres dans les Se les désignais comme géologiques de 1836 et journaux de mes courses qu'une étude plus 1837, et ce ne fut qu'en 1838 complète de ce terrain m'a amené à les reconou moins modifiés. naître comme des grès plus passage de mon journal Voici, par exemple , un Bully se décorade 1836. « Le porphyre vert de alors que trèspose assez facilement, et ne peut (anthraxidistinguer du grès difficilement se structure, la fère ); ils ont en effet la même grains opaques de » niême'Couleur et les mêmes prouver que pour '» feldspath. » Je cite ce passagepréoccupé par un je n'ai pas étudié ce terrain,
DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE.
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système géologique arrêté par avance, système qui a toujours une influence plus ou moins grande
sur le résultat final des observations même les plus consciencieuses.
On voit aussi, par cette citation, que dès mes premières courses géologiques j'avais reconnu la difficulté de tracer une limite bien tranchée entre le grès non modifié et le grès devenu cristallin grès que j'appelais alors porphyre vert. et Les détails dans lesquels j'entrerai plus bas, et dur' les exemples que je citerai, suffiront, je le pense, pour établir pleinement la justesse de mon opinion actuelle, opposée à celle de plusieurs géologues distingués, qui fut aussi la mienne dans
Le grès, qui est gris verdâtre et très-résistant quand il n'est pas altéré , devient, au contact de l'air, terreux, friable et d'un brun jaunâtre', sans doute par suite de la suroxydation qu'éprouve le protoxyde de fer. Dans la partie supérieure le grès est fréquemment rougeâtre , mais toujours fortement micacé. Certaines variétés moins micacées ressemblent complétement auxrporphyres rouges terreux; il est même probable que l'on a souvent confondu ces deux classes de roches d'oririne st, différente (1). ,
(1) Je me rappelle cette occasion 4hélti. Breithauptr me citait un jour, à Freyberg,. pour soutenixilà théorie wernerienne de l'origine aqueuse c14s porplwes,,,uhe couche d'anthracite exploitée à Schünfeld (entre P;r4berg a M tenberg) , intercalée entre dem:. bancs ipaffililes
porphyre. La carte minéralogique dé ft,14,Sébiie , par M. Héron de Villefosse , représentetn'ealément cette couche au milieu du poÉphyre:',Ce prétemitu porphyre ne serait-il pas plutôt uh ggès nthràx:ifilre pluWlont,mutusrochhé
SM' 1,9,
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