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THÉORIES DE LA CÉMENTATION
la loupe métallique r, et les scories ss qui remplisent le fond du foyer. Massiaux de fer brut d'une opération-précédente, qu'on porte à la température blanche nécessaire à l'étirage, au moyen d'une partie de la chaleur développée en c'. Une autre partie de la chaleur développée est absorbée par l'élaboration
du minerai pulvérulent m' et les réactions chimiques qui -Se produisent au fond du foyer ; le reste est entraîné par les gaz réductifs, produits
immédiats de la combustion : en vertu de la température élevée, due à cette chaleur, ces gaz exercent sur le minerai mm leur action reduetive
Fig. 10. Foyers Corses pour la désoxydation du minerai de fer. a aa , aire en brasque servant de base au foyer. CG, foyer proprement dit, construit à chaque opération , composé de gros charbons, longs de ,16 horizontaux , disposés régulièrement comme l'indique la figure. Ce foyer forme un cylindre légèrement évasé vers le haut, à base demi-elliptique et adossé à la vanne y v . On le tient constamment plein de charbon cc, lequel brûle en d sous le vent lancé par la tuyère T.
mm, minerai à réduire. traversé constamment par et qui sortent du les gaz réductifs préparés en foyer par les interstices horizontaux, compris entre- les charbons qui - composent . l'enceinte C C.
MM, gros fragments de minerai., recevant une calcination qui les rend plus propres à être concassés pour l'opération suivante. ss, scories qui , vers la fin de l'opération, se séparent par liquation du minerai mm, et coulent sur la brasque qui forme le fond du foyer.
Fig. 11. Demi- haut-fourneau employé à Ockerhütte (Bas-Hartz), pour la fusion d'une galène zincifère préa-
lablement grillée. mmmt, lit de fusion, composé principalement de minerai grillé, d'anciennes scories et d'une pe-
ET DES FOURNEAUX A TUYÈRES.
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tite quantité de fondant terreux : on le charge sur la varme y v', le long de laquelle il es t retenu
pendant sa descente par suite du déversement fv' donné à cette vanne. Il forme en quelque sorte une colonne juxtaposée à cette paroi. c cc' , charbon occupant plus des ; de la capacité intérieure du fourneau , et formant également une colonne presque verticale comprise entre le lit de fusion 'm m' et la poitrine j k a nez ouitube irrégulier, formant pour ainsi dire a'le prolongement de la tuyère T, et provenant du refroidissement qu'éprouvent, sous le choc du vent froid, les matières terreuses qui se liquéfient constamment en .'Ce nez Conduit le vent dans la colonne de charbon , et préserve ainsi de l'action oxydante de l'air le plomb réduit qui
se sépare en m' des éléments terreux du lit de
fusion. , paroi très-mince, composée de grandes plaques de schiste argileux , contre laquelle se condensent
les vapeurs de zinc métallique qui se dégagent
du lit de fusion élaboré en m', et qui remplissent la partie inférieure du fourneau : le zinc liquide
se dépose sur l'assiette de schiste z, d'où on le fait couler au dehors du fourneau.
ss, scories formées par la partie terreuse du lit de fusion, et qui se liquéfient constamment en
- elles s'écoulent à partir de s', sur un plan incliné ou sont enlevées par plaques de dessus le
bassin d'avant-foyer ss'. rr, plomb métallique et mattes , provenant également du lit de fusion élaboré en m' ; on les fait couler de temps en temps dans le bassin de percée A établi à un niveau inférieur. ppp, brasque composée de charbon pilé et d'argile, dans laquelle on creuse, avec la forme indiquée sur la figure, le bassin de réception rs. d e fg , section trapézoïdale donnée au fourneau, afin que la colonne de charbon c'c' soit aussi large que possible devant la tuyère, et y convertisse plus efficacement en oxyde de carbone l'oxygène atmosphérique. L'existence des vapeurs de zinc
métallique en b prouve que, dans cette partie
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