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ciluytIE.
petite quantité d'air qui a pu rester dans l'appareil. Mais on comprend que le volume de la clo-
che et la différence de densité du verre et du mercure s'opposent à ce que la cloche puisse se maintenir seule dans cette position ; c'est pourquoi, dans sa partie supérieure Q, elle est fixée, à l'aide d'une vis de pression, à une douille en fer m qui, par trois ouvertures, se trouve engagée dans les tringles T,T, T, et peut ainsi à volonté être élevée ou baissée. Le dégagement du gaz ayant commencé, on fait monter la douille in, la cloche s'élève peu à peu,
et le niveau des colonnes de mercure intérieure et extérieure est le même. Lorsqu'il s'est dégagé une quantité de gaz suffisante pour remplir la partie renflée de la cloche graduée, le poids de
EXTRAITS.
HYDRATE D'HYDROGÈNE SULFURÉ.
Pharm., janvier i 84.o.)
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( Ann. der
Lorsque l'on expose à un froid de 180 un mélange d'eau et d'alcool ou d'eau et d'éther acétique que l'on a saturé de gaz hydrogène sulfuré, il se forme clans la liqueur des cristaux incolores octaédriques qui paraissent être une combinaison d'eau et d'hydrogène sulfuré. Ces cristaux disparaissent quand on élève la température.
Sur le prétendu HYDRATE DE PHOSPHORE ; par
M. Marchand. (j. de Pharm., t.26,p. 673.)
celle-ci comprinierait le gaz, si l'on ne faisait usage
d'un support s ayant la forme d'un fer à cheval, fig. 4, destiné à soutenir la cloche du moment où el le ne plonge pl us dans le mercure que par sa partie
étranglée P. Ce support, muni d'un anneau à vis situé à l'extrémité de l'une des branches du fer à cheval, glisse sur l'une des tringles T pour y être élevé ou abaissé, ou bien rendu immobile à l'aide d'une vis de pression. Enfin, en faisant décrire un demi-cercle à ce support s, on peut livrer passage à la cloche graduée, et la faire plonger en
totalité dans la cuve à mercure. Afin de pouvoir connaître plus commodément et plus exactement le niveau de la colonne de mercure, dans l'intérieur du tube gradué, on pratique une petite ouverture i à la partie supérieure de la cuve a. Cette ouverture , d'environ 4 centimètres, est munie d'une petite glace scellée avec du mastic.
M. Pelouze considère la croûte blanche qui recouvre le phosphore comme un hydrate. M. Rose la regarde simplement comme une modification dans l'état d'agrégation. M. Perulder croit, de son côté, que c'est une combinaison d'oxyde de phosphore et d'hydrogène phosphoré. J'ai. examiné de nouveau cette substance, et j'ai reconnu que ce n'est que du phosphore, ainsi que l'a pensé M. Rose.
Lorsqu'on la fait fbndre dans un tube pesé d'avance, elle reprend l'aspect du phosphore ordinaire , sans presque diminuer de poids, et il ne s'en dégage qu'une trace d'humidité, qui ne peut s'y trouver qu'à l'état hygrométrique.
Mémoire suries combinaisons du PHOSPHORE