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EXTRAITS.
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,de l'amidon de pomme
température de terre broyé auparavant avec un peu d'eau froide ; on filtre, et on ajoute à cette dissolution une quantité de chlore en solution dans l'eau équivalente à l'iode de l'iodure. L'iodure d'amidon se dépose immédiatement sous forme de flocons épais , bleu foncé ; on lave .et On sèche. Cette matière est bien réellement une combinaison chimique d'iode et d'amidon.
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brûlant, par du (raz oxygène pur, du graphite naturel, du graphite extrait de la fonte et du diamant. Le graphite le plus pur en apparence exige un traitement long et compliqué, si on veut le débarrasser de tout corps oxydable, voici la marche qui nous a semblé la meilleure. Pour le débarrasser des matières terreuses onde chauffe au rouge avec de la potasse ; on délaye la masse dans l'eau
et on lave le graphite restant. On le fait ensuite bouillir dans de l'eau régale pour en extraire l'oxyde
28. Nouveau procédé pour préparer le snicrum ; par M. Hare. (Institut., n° 348, p. 290.)
Une cloche en verre renversée sur le mercure est remplie d'acide fluosilicique, et au moyen d'un fil courbé on y introduit à travers le mercure une cage en fil métallique contenant une
suffisante quantité de potassium , et on la place au
centre de la cloche. On fait un peloton au bout du fil métallique , on le chauffe au rouge blanc on le passe à travers le mercure et l'on touche la cage : le potassium entre en incandescence et met le silicium à nu. Une assez grande quantité de celui-ci reste sur les barreaux de la cage avec le fluorure de potassium formé, mais on peut le séparer au moyen de l'eau froide et par la digestion dans l'acide intrique.
29. Recherches surie véritablepoids atomique du CARBONE; par MM. Dumas et Stass. ( Compte rendu de l'Ac. , t. t, p. 992. )
Nous avons fait trois séries d'expériences, en
de fer et les bases. Enfin on expose le résidu à l'action d'un courant de chlore sec et à une chaleur presque blanche pendant douze ou quinze heures. On est étonné que des produits qui ont longtemps bouilli avec de l'eau régale soient encore propres à dégager par ce moyen du chlorure de fer pendant des heures entières. C'est pourtant ce qui arrive. Tous les diamants que nous avons brûlés ont laissé un résidu qui consiste tantôt en un réseau spongieux, d'une teinte ,jaune rougeâtre, tantôt
en parcelles jaune paille et cristallines, 'tantôt en fragments incolores et cristallins aussi. Les mêmes résidus s'obtiennent de la combustion de cristaux très-gros, préalablement bien brossés et
bouillis avec de l'eau régale. La proportion de ce résidu varie de o,002 à o,0005. Pour faire nos expériences, le charbon est in-
troduit dans un tube de porcelaine au travers duquel on peut diriger à volonté un courant d'oxygène sec et pur; en sortant de l'appareil le gaz traverse des condenseurs qui arrêtent l'acide carbonique et qui laissent passer l'excès d'oxygène.