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goum A co,
A UNE ET A DEUX PORTES.
qui entourent les piédroits jusqu'à la hauteur de la naissance extérieure de la voûte , mais, dans,
entre les piédroits, des planches horizontales tt
les localités où la maçonnerie de briques.ordirW-i res serait à un prix plus élevé que la rnaçonnerte de moellons bruts, on pourrait ne faire en briques, que les canaux d'aérage sur une épaisseur de (3%12
seulement. Tout le remplissage serait fait en moellons. Lorsqu'on doit employer des moellons calcaires dans la construction des fours à coke, peut-être aPproeher à serait-il convenable der"' ne' pas moins de om,48 du feu, 'cle.'sà-dire dg Vide intérieur du four. Je n'ai pas fait d'expérience positive
a ce sujet. Dans le Midi de la France , où. l'on -
emploie des moellons de grès et autres Matériaux non carbonatés, on ne'fait la maçonnerie en bri-
ques que sur une épaiàseur de partir de l'intérieur du four.
20 à 0",24 à
Après avoir établi les piédroits, on construit la petite voûte cylindrique c (fig. 2 et 4) au moyen
d'un cintre formé d'une planche horizontale de om,65 de longueur recouverte de terre'sablonneuse à laquelle on donne la forme de la voûte stirbaissée
à exécuter. Cette planche estsoutenue par deux montants, en bois, verticaux et appuyés contre les piédroits.
Pour la construction dela voûte elliptique qui recouvre la sole-, il:serait bon d'employer des briques réfractaires mOuléeS-' én forme de voussoir,
sur le plus grand rayon de - cette voûte, mais, néanmoins, on peut sé servir :dé briques rectangulaires de omo à ce,24 de longueur, en ayant soin de les placer toutes normalement à la surface de la voûte, même celles de la naissance.
Pour exécuter cette grande voûte, on dispose
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2) soutenues par des montants verticaux et au-dessus desquelles on établit d'autres planches inclinées ss. Sur les planches inclinées ss on met de la terré sablonneuse ou graveleuse que l'on tasse avec soin et que l'on arrange de telle sorte que la surface extérieure présente, à peu près, la' 'forme de voûte. Sur cette terre le maçon met une couche de om,o4 d'épaisseur , environ , d'un sable un pen argileux et humide. Avec sa truelle il lisse la sur-1 face de ce sable et lui donne exactement la forme. de la voûte à exécuter. On peut prendre pour directrices dans ce tracé deux arcs de cercle, l'un de (fig.
2m,125 de rayon représentant la section de la voûte par un plan vertical passant par le petit yer de la sole, l'autre de im,,75,5 de rayon et rePrq sentant la section de la voûte par un plan vertréal5 passant par le gran axe de la sole. rf
-vi
C'est sur le cintre ainsi établi que l'on construit la voûte. Lorsque cette voûte est termine, on. fait tomber les montants verticaux qui sOntenaient les planches et qui sont disposés convenablement à cet effet. Tout le cintre s'affaisse alors et l'Pn retire successivement les bois et la terre par la porte du four. De toutes les parties du four, c'est la 'naissance ne la cheminée. de la cheminée qui est exposée à la plus haute température. C'est, en effet, en ce point que se porte toute la flamme résultant du mélange des gaz dégagés de la houille et de l'air introduit dans le four par lés ouvreaux et les joints des por-
tes. Cette partie de la cheminée doit être construite avec beaucoup de soin- On peut la former