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DE DIJON.
EXPÉRIENCES FAITES DANS LE LABORATOIRE Irl
(i3) Cuivre. . Etain. Plomb
.
.
(14)
(15),
(16)
(i7)
(18)
. 0,7672 0,7640 0,7514 0,7750 0,7642 o,7658 0,2322 0,2264 0,2486 0,2250 0,2358 0,2342 » » traces. 0,0006 0,0096
553
Nouvelle cloche de Saint-Seine-l'Abbaye. Id. d' A thée. de Poisettil-les-Saztlx. Id. de Gurgy-la-Ville. Id. de &dot. Id. (P7) de Fanvey. Id.
Ancienne cloche de Chailly. - Sa den-
1,0000 1,0000 1,0000 1,0000 1,0000 1,0000 (19)
(20)
(21)
(22)
sité est de 8,877.
(20)1V ouvelle cloche de Saint-S eine-en-Rdche. de Saint-Aubin. Id. -
Cuivre Etain . Plomb.
0,7509 0,7595 0,7601 0,7619 0,2437 0,2405 0,2399 0,2381 0,0054
traces, traces.
traces.
-- - ---
1,0000 1,0000 1,0000 1,0000
(t) Ancienne cloche de Chemin d' A isey. (2) Id. de P ernand.- Le métal de cette cloche renferme des traces de fer. Sa densité , prise à la température de 15 degrés centigrades, a été trouvée de 8,932. (3) Ancienne cloche de Lamotte-Ternant. Id. de Saint-Remy. (4) (5) Id. de MOlain. Id. de Saint-Seine-en-Bache. (6)
- Le .métal de cette cloche était à grains trèsfins.
4ncienne cloche de rernoi.,,.-les-rèvres. Id. de Poiseuil-les-Sazdx. () Id. de 77illers-la- Faye. (9) (to) Id. d'Athée. Id. de rieux-ChOteau. Id. deSaint-Seine-l' Abbaye.
Id.
de Chailly.
Les trois cloches .(20) (2I), (22), d'un poids total d'environ 2.000 kilogrammes, ont été fondues d'un même jet ; les résultats des analyses de ces cloches, qui sont presque identiques, démon -
tient l'uniformité de composition de l'alliage
obtenu dans une même opération. Cependant il est à remarquer que si l'alliage contient une proportion notable de plomb, ce métal se concentre dans la pince ( partie inférieure) de la cloche. Tous les devis des cloches destinées aux communes prescrivent au fondeur d'employer un alliage composé de 3/4 de cuivre et de lm. d'étain. Cette proportion des deux métaux donne le bronze le plus sonore, mais non pas le plus résistant. L'alliage formé de 4/5 de cuivre et de 1/5 d'étain, qu'on employait encore il y a peu d'années, offre beaucoup plus de solidité, mais ses vibrations produisent des sons moins harmonieux. Il existe des règles géométriques fort simples pour mouler plusieurs cloches de poids très-différents destinées à donner des sons en accord parfait; mais ces règles supposent implicitement que la composition du bronze ne varie pas d'une cloche 4 l'autre, et l'expérience prouve qu'elles ne produisent plus
il