Annales des Mines (1842, série 4, volume 2) [Image 116]

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l'acide sulfurique. Pour 24 parties de platine, il faut employer 23 parties d'acide sulfurique.

NOTICE

Oh évapore la liqueur au bain de sable en l'agitant continuellement; on redissout dans l'eau, on précipite l'acide sulfurique par le nitrate de baryte' , et en faisant bouillir ensuite la dissolution avec du carbonate de chaux, on obtient l'oxyde de platine dont on sépare l'excès de Carbonate de chaux au moyen de l'acide acétique. Cet Oxyde est d'un brun noirâtre ; il détone

fer et de,racier Sur la fabrication de lafonte dans le Thuringerwald et lefrankenwald.

-par la chaleur.

nes du Thuringerwald et du Fritilkerii> 4)«ld, a pour objet la description de quelqiieS-unes desinéthodes employées dans ces contrées. Parmi ces méthodes, celles qui consistent à fabriquer la fonte dans petits hauts-fourneaux à poitrine fermée (Blaito-

Par M. EUGiNE JACQUOT, Élèye-Ingenieur des mines.

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,

92. Procédés pour séparer l'on du PLATINE; par M. Kemp. (An. der Chem.) On dissout les deux métaux dans l'eau régale et on les précipite successivement à l'état métallique, l'or par l'acide oxalique, et le platine par l'acide formique.

Cette notice, extraite d'un mémoire sur la fabrication des fontes, fers et aciers, dans le groupe des usi-

/en , Flossolen, Flussof en), et le fer dans des

creusets de brasque ( Loesclfeue r):, sont fort an:: dermes et remontent aii-Ve siècle .'épbeque à laquelle les arts com mencèrent à renaître en Europe':

L'histoire de l'art métallurgique nous apprend qu'au moyen âge, elles étaient répandues dans toute l'Allemagne et une partie de la Ëirance. Mais les blauofen étant peu prôpres à la fusion des minerais pauvres, disparuretieu à' peu pour faire place aux hauts-fourneaux. Aussi on 'ne retrouve plus aujourd'hui que dans les pays qui possèdent des minerais facilenient fusibles corrinie'

la Styrie et le Thuringerwald.: Quant à la méthode de fabaCation qui porte en allemand le nom de Loeschfeuersarbeit , elle n'est dans aucun cas avantageuse, et si elle subsiste encore dans quelques usines groupées autour de la petite ville de Suhl , on doit attribuer ce résultat à l'isolement presque complet dans lequel ces usines sont res-

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