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DES CALABRES ET DU NORD DE LA SICILE.
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Bivongi et la chapelle San-Giovanni, parait la grande formation calcaire jurassique de SantaMaria della Stella, formation ayant un orientement conforme à celui des schistes, quoique avec une inclinaison différente, et qui renferme à son point de contact avec les roches de transition ;les minerais de fer qui alimentent les usines royales de la Mongiana. Par-dessus les calcaires, vient un grand groupe tertiaire, très-développé ét qui est composé de deux étages dont l'inférieur est surtout caractérisé par les elypéastres si connus du bein de la Garonne.
Sans entrer dans de trop grands détails sur la composition géologique de ces localités, j'eHdirai qu'en remontant la rivière de Stylo, on a fait, un peu au-dessus de Bivongi , une tentative iGilliel4s anciens nommaient Raspa , et Flue les pays.aini g»pellent aujourd'hui Argentier*: Une galei'éld'une dizaine de mètres n'a procIllittilf un pericle'Cuivre. pyriteux. Après avoir dépassé les montagnes schisteuses de San-Giovanni, dans lesquelles les trâncheskïés roches montrent sans cesse des direCiiillai-VâiLt de N. 55° à N. 7o° E. avec pente au S. on arrive à travers un bois de chênes verts, sur reÈ'làii: E. Fiume-Assi , où les anciens avaient étatn une op. derie et ouvert des chantiers sur des filOe-ciiiDfnt trouvé, dit-on, de l'argent natif. Ce sont les galeries de San-Giovanni in Raspa , et très-probbie--
ment les longues recherches de Santa Parmi les déblais de celle-ci, on ne voit plus au jourd'hui que des pyrites cuivreuses, de la blende et quelques mouches fort rares de galène. Les sinuosités du plan de Sarita-Apiali'a et les