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TRAVERSÉE DES MORTS-TERRAINS
DANS LE NORD DE LA FRANCE.
,est taraudé à côté du premier. Un autre petit trou circulaire est ménagé dans la surface extérieure du plateau, un peu au-dessus du siége de la soupape. il :porte aussi quatre oreilles percées de trous rectangulaires., Chaque plateau repose sur une partie plane percée de deux trous ; ceux-ci reçoivent des chevilles en fer qui servent à fixer les plateaux- sur le sol ou mieux sur deux sommiers en bois, quand on veut faire fonctionner la
Il est facile de saisir le jeu de cette presse ; admettons que l'on ait à essayer une soulevante
presse
(Pl. r, fig. 89.) 2' De quatre tirants en fer percés de trous rectangulaires espacés de o,3o ; ces trous reçoivent des clavettes qui se placent derrière la surface extérieure du premier plateau.
Chaque tirant est terminé par une vis à filets
triangulaires d'un mètre de longueur.
(Pl. Ir; fig. 9o.)3° D'une pièce de fer qui se
visse dans le trou taraudé ménagé dans la partie supérieure du deuxième plateau; un boulon traverse la tête de cette pièce et le levier de la soupape de sûreté; il forme le point de rotation de ce levier.
(Pl. Ir;fig. 91, 92.) 4. D'un levier avec piston ; celui-ci se termine par une pointe qui appuie sur la tête de la soupape de sûreté. (Pl. Ir,fig. 93.) D'une soupape de sûreté - composée .dune partie cylindrique et d'une partie conique.
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(Pur ,fig. 94.) 6° D'une masse contre-poids en fonte; eue présente au centre une Ouverture rectangulaire dans laquelle pénètre le levier de la
soupape de sûreté; une vis de pression arrête
cette masse au point voulu. (Pl. , .fig 95.) 7° De deux clefs.. pour serrer les .éerotis des tirants.
de 2,50 de long, et appartenant à un jeu de
quinze pouces. On fera glisser les deux plateaux sur leurs sommiers, ou seulement celui qui reçoit le pied des soulevantes , car l'autre étant lié à la pompe aspirante et foulante, doit être fixe ; on emmanchera la soulevante garnie de lanières de cuir à ses extrémités , ainsi que nous l'avons dit plus haut; puis on fera passer les quatre tirants dans les oreilles des plateaux; les clavettes placées convenablement , on touillera les écrous de manière à presser foi tonnent contre les circonférences
qui terminent la soulevante; lesbourrelets agiront de même sur la surface extérieure. La soupape de sûreté et son levier étant mis en place., on remplira d'eau la soulevante au moyen de la pompe aspirante et foulante; on la laissera
eu cet état pendant quelques heures, afin de donner au bois le temps de se gonfler ; puis on fera n'archer la pompe, jusqu'à ce que la soupape en se levant un peu, donne lieu à un jet d'eau par
le petit trou circulaire pratiqué au - dessus du siége de la soupape. La position de la masse contre-poids, au moment de la levée, indiquera la pression en atmosphères à laquelle la soulevante aura résisté sans donner de fuites. Cet appareil est Appareil de suspension. destiné à supporter et à manuvrer avec peu
de bras les jeux de pompes de la répaition. Pl. Ir, fig. 96.- Ceux qui portent Colliers. les jeux de pompes de quinze pouces se placent sous le troisième bourrelet de la travaillante, à partir de la chapelle. ceux qui portent les jeux de pompes de huit