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206 rtEcnEncriteSnit LA nômPosiTioN nEs GAZ, ETC.
et formation de scories. très-bagiqué'etitil terniiiient la décarburatioff.
5° La composition des gaz qui se dégagent des feux d'affinerie est variable, d'un point à un autre du foyer et du commencement à la fin de l'affinage,
entre des limites fort étendues. Leur composition moyenne est caractérisée dans la première période de l'affinage par une proportion considérable de gaz combustibles, tandis qu'à la fin du travail ils renferment une quantité notable d'oxygène libre. 6° La température des fours à chaleur perdue
varie avec la composition des gaz produits aux différentes époques de 'l'affinage. Leur disposition intérieure doit être calculée , tantôt de manière à porter rapidement le fer à une température élevée, tantôt de façon à éviter son oxydation et le déchet qui en résulte.
EtneeEP.CillES Sur la production et l'emploi des gaz combustibles dans les arts métallurgiques ; Par M. EBELMEN.
PREMIÈRE PARTIE.
L'application de la chaleur produite par la combustion des gaz des hauts-fourneaux à la fabrication du fer dans les fours à réverbère, a con-
duit naturellement à rechercher s'il n'y aurait pas avantage-, dans un grand nombre de cas, à substituer la combustion d'un gaz à celle d'un so-
lide La solution de cette question présente de l'importance. On conçoit, en effet, qu'on puisse arriver à produire, au moyen de combustibles de mauvaise qualité, ayant peu de débouchés et de valeur, des gaz susceptibles de développer en brûlant des températures très-élevées ; en second lieu, la nature des procédés employés à effectuer cette
combustion permettrait peut-être d'utiliser, dans l'appareil métallurgique, une plus grande propor-
tion de la chaleur produite, et partant de réaliser une économie correspondante sur le combustible consommé.
Nous devons aux métallurgistes allemands, qui ont déjà fait faire de si grands progrès à la question de l'emploi des gaz des hauts-fourneaux au travail de fer, quelques indications sur ce sujet.
M. Karsten (Handbuch der eisenliuttenkunde tome 3, page 373), fait remarquer que la meil-
leure manière de brûler les combustibles dans les fours à reverbère doit consister à les transformer