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CHIMIE.
EXTRAITS.
l'un sur l'autre, à moins qu'on n'y ajoute quelques gouttes de nitrite.
l'autre une même quantité de planure de cuivre ;
Platine. Il en est de ce métal comme de l'ar-
chacun d'eux une petite quantité d'acide nitreux, le cuivre a été attaqué de part et d'autre avec une activité remarquable. L'action, a continué pendant plusieurs heures, constamment elle s'est montrée pour le moins aussi active avec l'acide sulfurique qu'avec l'acide nitrique, et les quantités de cuivre dissoutes ont aussi été à peu près les mêmes, ce
senic et de l'antimoine, mais il faut pour son attaque une températureplusélevée; l'acide nitrique et l'acide hydrochlorique réunis, l'acide nitrique et le chlore réunis, l'acide hydrochlorique .et le chlore réunis, n'attaquent pas le platine ; mais le deutoxyde d'azote intervient-il en présence d'un
dissolvant à une température suffisante, le pla-
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il n'y a eu aucune action; mais ayant ajouté à
qui n'aurait pas dû avoir lieu dans l'hypothèse
tine est attaqué.
admise par M. Millon.
32. Observations relatives aux recherches de M. Milton, sur l'action réciproque de l'ACIDE
33. Recherches sur les combinaisons de l'eau
NITRIQUE et des MÉTAUX; par M. Gay-Lussac.
(Ann. de Ch., t. 7, p. 385.)
Je ne .pense pas que l'on puisse admettre, comme le Voudrait M. Minou , que l'acide nitrique est inactif par lui-même sur les métaux, et qu'il ne devient actif que par la présence d'une petite quantité d'acide nitreux, qui, ayant commencé l'action, la propagerait à la manière d'un ferment. Mais il est tout naturel de concevoir qu'à raison de sa grande instabilité , nitreux, lorsqu'il en existe clans de l'acide nitrique, est décomposé de préférence à ce dernier. J'ai mis dans un tube de l'acide nitrique à 1,02 de densité, qui est le plus fort des acides étendus qui soit inactif sur le cuivre, à la température ordinaire, et non pas l'acide à 1,07 , comme- le dit
M. Milon. J'ai mis dans un autre tube de l'acide sulfurique étendu de 8 à 9 fois son volume d'eau.
J'ai placé les deux tubes dans un même bain d'eau froide, et j'ai introduit dans l'un et dans
avec les HYDRACIDES; par M. Bineau. (Ann. de
Ch., t. 7, p. 257.) L'acye chlorhydrique se concentre jusqu'à un
certain point, puis se distille sans altération. Alors il renferme : équiv. ou 4 vol. d'acide chlorhydrique. 0,2017 16 équiv. ou 32 vol. de vapeur d'eau. . 0,7983
tom et il marque 13 à 14° à l'aréomètre ; il bout à lo7°15ou 1120 selon la forme et la nature des vases. 11 produit un volume de vapeur égal à la somme des volumes qu'occupent séparément le gaz chlorhydrique et la vapeur aqueuse : cette vapeur pèse 0,695. Elle attaque les vases de verre, même de verre vert. En concentrant l'acide chlorhydrique parl'évaporation dans le vide à côté de l'acide sulfurique, de la chaux ou de la potasse, ou en faisant passer à travers pendant longtemps un courant d'air des-