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SUR LA PRÉPARATION. MÉCANIQUE
devoir restreindre très-souvent l'application de ceux de ces moyens qui occasionnent une - augmentation de dépense ; mais il est aussi à remarquer qu'ils sont accompagnés d'une économie (8) est soumis au triage et .donne les mêmes produits que (3). (9) est reçu dans un canal à fond ascendant où on le retourne plusieurs fois pour bien l'en séparer (10), puis est livré au gros crible, dont les mailles ont 3 lignes de côté. Les levées du crible sont, outre le stérile (11) mine à bocard ; B mine à fondre ( glauz-graupen ); et l'on a de plus (12) dépôt de la cuve. (12) passe au crible fin, dont les mailles ont 2 lignes de côté; les produits sont (13) mine à bocard ;
DES MINERAIS DE PLOMB DU HARTZ.
notable qui est due au criblage mécanique opéré sur des matières mieux préparées pour ce travail; qu'ils abaissent les frais du lavage proprement dit, en diminuant la masse des matières à y soumettre; qu'ils réduisent de beaucoup les pertes que l'on ferait au bocardage à l'eau et au lavage ; et que, de cette dernière circonstance résultent une production plus forte, par conséquent, une économie, dans les prix de revient, sur les frais généraux et sur les frais d'exploitation et, en outre, l'avantage important, au point de vue de l'intérêt général, de transformer en valeurs utiles une forte proporil suffit, pour indiquer le traitement ultérieur, de les diviser en
sables gros et fins et gros schlamms ( hiiuptel , mittellschlamm , schlamm ) schlamms fins ( sumpfschlamm
C mine à fondre ;
D dépôt de la cuve ( fasserz ).
(7) subit un tamisage à sec sur une grille qui a quatre trous par pouce carré ; (14) reste sur la grille, (15) la traverse. (5) et (14) sont soumis au boeardage à sec ( kleinpochen)
jusqu'à ce qu'ils traversent une grille dont les ouvertures ont 2 lignes et demie de côté. On les délaye alors dans un durchlass , afin de les débarrasser des parties fines qui sont entraînées dans le labyrinthe du bocard à eau, et on les traite par le criblage de la même manière que (9). (15) est également débourbé au durchlass, et traité par le criblage il donne les mêmes produits que (9). (10) est lavé sur une table dormante de 16 pieds ; l'on en retire E sclffich n. 1; (16) déchets ( unterfass ). (16) repasse sur la même table et est amené à l'état de F schlich n° 2 ( geringes-erz ). (4), (6), (11) et (13) sont bocardés à l'eau. Les dépôts u labyrinthe forment un grand nombre de classes ; mais
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(17) est envoyé aux tables à secousses. Chacune des classes de (17) y est lavée séparément en deux tours et donne G. schlich n° 3 ( glauz ). Pendant la seconde lavée, ou mise au net, l'on recueille les déchets pour les repasser sur la table , et l'on en retire . H schlich u. 4 ( geringes-erz). (18) est concentré sur des tables dormantes de 20 pieds
et produit I schlich n° 5. B, C sont soumis au bocardage à sec ( trockenpochen ' ) jusqu'à ce qu'ils traversent une grille qui a 38 trous par pouce carré, et livrés alors à la fonderie avec les autre S produits D à I. Des essais ont été faits en Saxe pour comparer le bocardage à sec des matières à cribler avec le bocardage grossier
à l'eau, suivant la méthode adoptée au Hartz en 1826. Cette seconde manière de procéder, quoiqu'elle donnât un peu d'économie sur la main-d'oeuvre, a été trouvée moins avantageuse, à cause d'une plus grande perte en argent.
(Annuaire de Freiberg, 1840. )