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DE LA CALAMINE ET DE LA GALÈNE.
les tamiseurs (setz,er) qui surveilclasses : lent le travail des tamis à secousse; quand les tamis ne vont pas on les emploie aux transports sur le chemin de fer ; 20 quatre chargeurs (einschhiger) qui font le service des trommels;
le temps pendant lequel le minerai doit être ainsi exposé dépend de la saison, mais il ne dépasse jamais trois mois ; quand on juge qu'il est suffisant
deux d'entre eux déchargent les wagons pleins de minerai qui arrivent par le chemin de fer, les deux
autres chargent le minerai dans les trommels; 3° enfin on occupe aussi moyennement quinze à vingt jeunes gens (klaubeiun gen) pour le triage du minerai, pour le service dés tamis, et pour les transports à la brouette qu'on est obligé de faire de l'intérieur à l'extérieur de la laverie. Les premiers ouvriers reçoivent. Les deuxièmes. Les troisièmes.
.
i,r000,
0,937, o, 625.
Description
Maintenant il nous sera facile de passer en
du travail.
revue la série de opérations auxquelles on soumet
le minerai de zinc avant de le traiter clans les usines, et dont l'ensemble constitue la préparation mécanique. Triage.
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SUR LA PRÉPARATION MÉCANIQUE
D'abord la calamine subit un premier triage à la mine et sur le lieu même de son exploitation : ce triage donne ce qu'on appelle le stuck galmei, qui est de la calamine à peu près pure en morceaux de la grosseur du poing, et même plus gros. Une partie de la calamine rouge, celle qui est la plus compacte, est assez pure pour être envoyée à l'usine immédiatement, et sa richesse en zinc est de
on fait un triage à la main des gros morceaux, et on retire avec un râteau, dont les dents sont espacées de om,o5, les morceaux qui sont plus petits ; au besoin, on enlève avec un couteau les portions argileuses ou dolomitiques qui sont restées adhérentes ;
le minerai provenant de ce nouveau triage, qui porte aussi le nom de stuck galmei, peut être également traité de suite dans les usines à zinc.
Quant au menu de la mine ou grubenklein , il est aussi soumis à une opération préliminaire qui a pour but de le débarrasser autant que possible de l'argile qui l'accompagne 'ainsi que des morceaux de toit ou de mur qui, dans l'extraction, se mélangent toujours avec le minerai. Pour cela on le débourbe en le remuant au moyen d'un râteau dans de larges caisses en bois ( waschgraben); quand le minerai est seulement mélangé d'argile
on l'agite à plusieurs reprises clans divers tamis très-fins et qu'on manoeuvre à la main ; on les plonge dans l'eau et on les fait tourner horizontalement , alternativement clans un sens et dans l'autre ; quand le minerai est mélangé de gangue calcaire ou dolomitique, on emploie au contraire
un tamis suspendu à l'extrémité d'une perche élastique. Quoi qu'il en soit, toute cette manipulation n'est que préparatoire, et on conçoit que le grubenklein
Ce qui reste, calamine rouge ou
n'est encore qu'un minerai très-impur. On met
blanche, est rangé sur une aire par tas de 5o kil., et exposé pendant un ou deux mois à l'action de l'air atmosphérique .et de la pluie, qui le débarrassent d'une partie (le l'argile et de la dolomie;
donc dans des wagons le grubenklein et le résidu de l'opération qui a donné le stuck galmei, et nu chemin de fer les amène à la laverie de Scharley;
3o à 5o p.
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on a
seulement bien soin de ne pas mêler
Débourbage.