Cours d'exploitation des mines, [professé à l'Ecole royale des mines en l'Hôtel des Monnaies de Paris durant les années 1780]. [Page 176]

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| 174 | une ligne. La différence de ces rayons est donc de cinq pieds un pouce cinq lignes 4/5 ce qui fait voir que leurs longueurs sont à très peu près, comme un est à deux et en même temps que le câble n'agit que de la moitié de son poids pour soulager les chevaux. Or sa pesanteur totale étant de trois milliers, il ne reste donc que 1500 livres à vaincre de la part des chevaux. D'après certains [illisible] il sera facile de déterminer l'éffort qu'ils ont à faire ; pour cet éffort ou Diva ; donne 22 pieds bras de levier du manege sont à 1500 livres de resistance, ainsi dix pied 3 pouces une ligne (rayon de la baze des Cônes) sont à l'éffort des chevaux qui se trouvera à très peu près de 700 livres, puissance ordinaire de 4 chevaux, les huit qui y sont employés n'ont donc que la moitié de leur charge au dernier moment de l'ascension de la tonne pleine. | L'on a fait voir qu'au moyen des cônes tronqués ou gagne plus d'un tiers sur la vitesse, ou ce qui est la même chose, que l'on économise plus d'un tiers de la puissance que l'on est forcé d'employer quand on fait usage des Baritels ordinaires à tambour. | Il convient maintenant de [illisible] chercher à évaluer la quantité de matieres que la machine à cones peut éxtraire, dans un temps donné de la | | ECOLE DES MINES de Paris | Bibliothèque