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DU SYSTÈME DE M. MEYER.
246 rétrograde du piston, la largeur de cette ouverture serait déjà égale à l'ordonnée I (E)=--- mil!. 1/2, THÉORIE GÉOMETRIQTJE
Quand le piston commencerait sa course di: recte , la vapeur serait admise par une ouverture rectangulaire ayant déjà 5 mill. de largeur. L'espace en avant du piston communiquerait avec le condenseur; l'admission de la vapeur continuerait
jusqu'à ce que le piston fût arrivé à la distance représentée par l'abscisse (e,) (es') de l'extrémité de sa course. (e,) (ei)= 13 mill. A partir de ce point, la vapeur n'entrerait plus dans le cylindre; celle dont il est rempli se détendrait. L'espace en avant du piston cesserait de comintiniquer'avec le tuyau d'échappement, et la vapeur s'y comprimerait quand le piston serait arrivé à la distance 9 mill. de l'extrémité de sa course; (,) la distance (es) (E11) la vapeur motrice, qui s'était détendue depuis (es): jusqu'en,(6,1), commencerait à s'écouler par le tuyau d'échappement,
et .le piston continuerait à éprouver une contrepression de la vapeur- qui se comprimerait de
plus en plus en avant de lui; enfin, arrivé àla distance (a,) (of,t), la contre-pression .de la vapeur serait remplacée par la contre-pression plus
forte due à- la vapeur affluente de la chaudière par la lumière qui commencerait à être démasquée. Pour exprimer sur la même épure le jeu de la détente obtenue par les taquets T, T';' il suffit voir relevé pour chaque position du piston de la machine la position correspondante du bord de l'un des taquets T ou T', et de construire sur les mêmes abscisses, qui représentent .les distances du piston à l'origine de sa course, une seconde courbe
ayant pour ordonnées les distances correspon-
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dantes du bord du taquet à l'origine de son exC11rS1011.
On se rappellera que la tige du piston et la tige des taquets sont liées entre elles par un balancier à bras inégaux tournant autour d'un point fixe, de sorte que leurs mouvements sont toujours de sens contraires l'un à l'autre , et qu' elles arrivent simultanément aux extrémités de leurs courses en sens contraires. Pour une même position du piston dans le cylindre, dans les courses directe et rétrograde, la tige des taquets revient aussi à la même position, saufle jeu qui existe dans les articulations et occasionne quelliue temps perdu. La courbe représentant la marche de la tige des taquets ne sera donc point, sauf ce jeu que l'on peut négliger, une courbe fermée , comme celle qui représente la marche du tiroir, mais une simple ligne dont l'ordonnée correspondante à l'abscisse o, au point A, sera l'excursion totale de la ligne des taquets, et qui ira passer par le point B, où l'abscisse égale la course entière du piston. Cette ligne serait d'ailleurs une simple ligne droite, 1, et sans l'effet de l'obliquité de la bielle LG, variations sauf le jeu dû aux articulations et aux de lori...Lieur dues au. défaut de rigidité des tiges qui communiquentle mouvement. Voici, du reste, le relèvement fait sur la machine même
(i) Distance du piston à l'origine de sa course directe Distance d'un point quelconque de la
tige des taquets à l'origine de sa course directe (longueur totale de
o
l'excursion de cette tige-ordonnée. I t6 ti/2