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au moyen d e l'échelle C placée sur le côté. L' excursion des tirants est de 1w,6o. A peu près à la même époque, où l'on construi-
Machine
établie sur la mine de Trésavean.
sait au Hartz la machine de M. Dôrell, on s'occupait, d ansle Cornwall,de construire un appareil qui permît de descendre et de remonter les -ouvriers dans les puits des mines profondes de ce pays. On s'arrêta à un système de forts tirants en bois, analogues aux maîtresses tiges des pompes d'épuisement, que l'on plaça à côté l'un de l'autre, et auxquels une machine à vapeur imprima un mouvement alter-
natif. Les fig. 6 et 7, Pl. KHI, ,représentent la disposition de la machine de Tresavean , pour monter les ouvriers d'une profondeur de 24o fathoms (439,2o), d'après un modèle existant dans le muséum de géologie de Londres. Ce dessin pris en Angleterre par MM. Boty,.Glépin-et Guibert, m'a été communiqué par M, Rainbeaux. T, T', sont les deux tirants suspendus dans le puits par les tiges en
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DANS LES MINES.
MACHINE A DESCENDRE LES OUVRIERS
d'arrêt pendant lequel les ouvriers passent du plateau sur lequel ils sont, surie plateau qui se trouve alors amené vis-à-vis d'eux.
Lesfigures i et 2 ne donnent d'ailleurs qu'une idée générale de la machine dont je n'ai pas les dessins complets. Les tirants sont certainement guidés par des moises ou des rouleaux, comme le sont les maîtresses tiges des pompes. Ils doivent être munis de patins, et équilibrés l'un par l'autre, à diverses hauteurs, par l'intermédiaire de balanciers accouplés, ou au moyen de chaînes passant sur des poulies analogues à celles dont on a fait usage dans la machine du puits Samson d'Andreasberg , et qui sont représentées dans les
fi8. 3 à 5. Il est facile, d'après ce qui précède
et les descriptions des machines du Hartz , de suppléer à ce qui manque dans les dessins de celle de Tresavean.
fer CD, CD, articulées en D, et qui sontliées aussi à articulation aux bouts des leviers coudés ABC-, mobiles autour des axes B,B. Lesbras inférieurs A,A, de ces leviers sont liés entre eux par les tiges Eh,
et reçoivent du moteur un mouvement alternatif par l'intermédiaire de la bielle L et d'un autre levier coudé M'M. Aux tirants TT' sont fixés des pla-
teaux en bois distants entre eux d'un._ intervalle égal à la demi-amplitude de l'excursion de chacun des tirants. Ces plateaux remplissent-la section du puits rectangulaire, qui se- trouve ainsi divisé en compartiments ou cellules mobiles dans lesquelles se placent les ouvriers qui veulent entrer dans la mine ou en sortir. Le moteur est vraisemblablement une machine à vapeur à- double catitructé, qui produit, à chaque point mort-,un léger temps
Tome FU, I45.
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