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SUR LES DÉPÔTS GYPSEUX, ETC.
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port d'age de position et de caractères chimiques qui relie entre eux trois ordres de phéno-
11.APPORT
mènes si divers , il devait y avoir autre chose qu'un simple jeu du hasard.
Sur l'explosion d'une chaudière locomotive sur le chemin de fé r de Saint-Étienne à Lyon.
,
Par M. PIGEON, ingénieur des mines.
La locomotive n° 2, spécialement destinée à la remorque des wagons de Rive-de-Gier à SaintÉtienne, se trouvait près d'arriver au percement
de Saint-Julien, remorquant un convoi dé 39 tonnes, lorsque le réservoir ou magasin de vapeur dont était surmontée la chaudière se rompit et donna passage à la vapeur et à l'eau qui se répandirent des deux côtés par torrents. Le méca-
nicien et le chauffeur qui se trouvaient à leur poste ne reçurent aucune atteinte, et le nuage épais de vapeurqui s'étai t formé les empêcha devoir
d'abord quelle était la nature de l'avarie. Mais ils constatèrent bientôt qu'une portion de la couver-
ture du réservoir avait été enlevée par déchirement et projetée à une dizaine de mètres de la voie dans un champ voisin. La tôle de la chaudière s'était en outre ouverte et ployée des deux parts, et l'un des tubes intérieurs avait été brisé. Aucune personne ne s'était heureusement trouvée à proximité de la voie ; l'on avait pu de plus
arrêter de suite le convoi qui se trouvait abandonné à lui-même sur une pente de o,o14, et l'on n'eut par suite à déplorer aucun accident funeste. La locomotive fut immédiatement ramenée à Rive-de-Gier dans les ateliers de M. Vertpilleux , et lorsque l'ingénieur Os mines soussigné se ren-
naze
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