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cette hypothèse, et en partant de cette extrémité, on verrait successivement paraître les roches sui-
Coupe de la val-
té' 't'erse'
vantes :
t° Schistes primaires ; 2° Gratiwacke schisteuse; 3° Diorite schisteuse 4° Grauwacke, soit schisteuse, soit en conglomérats 50 Diorite; 6° Grauvvacke schisteuse 7° Grès rouge ; Schiste argilo-bitumineux; 90 Calcaire bitumineux ou stinkstein; io° Le schiste, 80, niais bien moins puissant ;
2° Schistes a rgilo-bitumineux ; 3° Stinkstein ; 4° Les schistes 2° ;
.Cttle,aire plombifère. Si l'on fait, suivant El K. (fig. 2, Pl. V), une c9npe dirigée - de l'est ,ù l'ouest , on obtiendra 3 ,
PI. K) la série suivante de roches,
à
partir de l'est .1* Calcaire dolomitique 20 Grès rouge recouvert d'alluvions 3° Calcaire avec alluvions;
4° Diorite;
Coupe de la val-
5° Calcaire avec minerai; 6° Diori te. Une coupe transversale, suivant AB, et passant
lée Imzituilinale, par K et-id), donne par Kreutb.
CD et passant par Nôtsch, fournit
(fig. 4,
Pl. r):
1" Calcaire dolomitique; 2° Calcaire à pentacrinites; 3° Schistes argdo-bitumineux 4° Calcaire bitumineux ou stinkstein; 5° Les schistes 3°; 6° Calcaire plombifère; une seco`'nde coupe transversale, dirigée suivant
,
la série
I° Calcaire dolomitique;
(fig.
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DE LA GALÈNE A BLEIBERG.
GISEMENT, EXPLOITATION ET TRAITEMENT
Pl. r) Coupe de la vallée lou2itudinale, par 1Nôtsch.
5° Calcaire plombifère. Enfin , on obtient au moyen d'une -troisièmeCoupe de la val-
section transversale, dirigée suivant.EF et tra ver- lee longitudinale, par Bleiberg. saut Bleiberg, la coupe suivante (fig. 6, PI. ° Calcaire dolomitique; 2° SchisteSargilo-biturnineux; 3' Stinkstein; 4. Les schistes 20; 5° Calcaire plombifère. Les trois dernières sections montrent qu'à l'ex- Direction , puiseeption du calcaire à pentacrinites , on retrouvess'";Led'eestclo"u'liesi: datrs l'Erzberg la meule série de colichris, dans
toute l'étendue de la vallée, entre bengèt Krenth. Cette circonstance porto à penser que
toutes ces roches, ou du moins celles q forment l'Erzberg, n'ont éprouvé qu'un seul et unique soulèvement commun à toutes, à partir de la position horizontale ce qui n'eN cl ut pas l'idée, fort probable au contraire, qu'elles appartiennent géologiquement à des groupes di fferents. Cette opinion d'un soulèvement unique et simultané de toit tes ces couches est confirmée, par le luit qu'on n'y observe aucune discordance réelle de stratification et par cette particularité que les assises inférieures, c'està-dire de calcaire plombifère , ainsi épie celles des schistes bitumineux qui leur sont suPerposées, ont une direction commune de 7 heures 1/2 de la boussole du mineur ou, à très-peu près, de l'E. à FO. Or cette direction est aussi sensiblement celle (le la 14 i