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DE FRANCE ET DE BELGIQUE.
1844,. Les faitsont'depuii'vérifié eux-mêmes nos; préVisions: par suite de l'union de commerce faite par.la Belgique .a'Y'éc le Zollverein , les prix des
nousieyons fait rapporter tous nos renseignements à une époque assez antérieure. Or, chacun sait que les changements radicaux d'une fabrication ne sont
"premièreï'sont 'devenus 'cé'lque nous avioils prévu pour "le cas d'une alliance pareille faite ,avec la France, et les prix des fers s y Sont ,it7t)atières
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SITUATION DES FORGES
également élevés à Ceux que nous avions indignés.
'te fait,'èï'les résultats que nous donnons, se..
ra;,teneddiic bien propres à faire'cesser en France be4ftiCi)Iiiiide,'de 'Craintes,' 'ét 'àr;tfailquillisér 'beaucoup
nous était permis de le
d'intékts.
dire ici, l,es 'rii`Creir'éS` prohibitives ne sont pas tou,1
des mesures Belgique n'a ,,,,.de protebtie:'La io;...., . -:, r
1a.6.1,',:1;esàoilli-idustriel. que rions _
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nollsauloitlidtM ; -que par suite du refus pi., fpurS CônStattPqtté.ifit' Micll'S'ie roi Guillaume .de lui:acm ibi,sque corde. `auédiiticir(biti) 'rotecteur;' et Mêe, l`dri' 'cUrefiPellid.';' 'histoire lescatjseS'sOus :l'influence desquelles a pu se développer l'industrie, Wrli'e'St`à'àeez tçtdÉné de' trôùver dans leStbido' n'iiiVes 'cireg. Phi Ii fijiè ". de v\7-;.11ois -, »en i 349 ',"1% ilion
IIW ai diyi ei..? e-én't.`Cii'SpointS principabx kl'e'pèrtii1.-Mied 'Cl'ollifete'd'elbtl tes n'a tores , itidiq crée et it:ird ou ri é'à eiddriiè'llè'ii:(5,yen le fituS propre dé 'clé--,:, ---,i.i.;:o., ve I oppeitileittl '(I'j.' rii,,i, >M'ais ":.iéen-Pd'in térêtSifrârtiCiiii ers ne l'aisseir. t,pas
filie,'teK'otiY:iCtion s'et llblir aujourd'hui, et nous lvi-islié'n trrt ,I, `,CCrMpris qù'é'iparrniH-toutes les indica-
que nous devions donner, la fions ri réserve pour les intérêts de chacuri'était,tme première loi' que nous'devictts garder.Atissi , et par des égards 'que nous n'aurions pas von III sacrifier, ) Ces ordonnances rapportèrent les droits dont avait .été frappé le commerce, au commencement'dn règne de ce prince.
jamais rapides; les chiffres que nous avons donnés conservent donc leur réalité sans nuire aux intérêts présents, et ne devront alors éveiller nulle crainte, ni porter personne, par précaution ou par prudence, à mettre en doute nos résultats. Il est ensuite. plus-utile, dans l'intérêt de l'industrie , de présenter ces chiffres tels qu'ils sont, que de laisser l'opinion publique s'égarer et s'éta-
blir sur d'autres publications de chiffres qui formés le plus souvent loin du travail qu'ils indiquent, et ne pouvant -comprendre bien des détails, donnent des irésul ta ts et des prix de fabri-
cation 'inférieurs aux pi-ix réels, et qui, plaçant -ainsi l'industrie sous le renom :d'une situation plus prospère, 'sont plus propres à la: priver des mesures qui lui seraient nécessaires qu'a les lui faire obtenir'.
Dr adoptant la marelle que nous avons suivie, pour la comparaison de-ces travaux de différentes contrées, on pourrait, en établissant des tableaux analogues pour les conditions relatives de chaque travail , obtenir .
Les situations des forges de France-,entre elles; 2, Leurs situations avec celles des autres pays;
Et 3° arriver à connaître ainsi, d'un seul coup d'oeil, les progrès possibles pour chacune d'elles. C'est un travail que nous espérons donner un jour dans son entier, pour les usines à fer et pour quelques autres industries. On pourrait alors déterminer ; la part -desuccès que toutes les usinestiennent en effet des ci,-con-