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.33ITUATI0N DES FOUGEE
Report charbons prêts h être mis aux fours.) fi faut y ajouter les frais nouveaux de transports aux lieux de la consommation. L'immense quantité de charbon que l'on
DE eftAftE ET 'DE BELGIQUE,
If, 6
Total du prix de ion kilog. de houille
trouve nécessaire , et que celui de Saint-Dizier,
Vitry, Bar-le-Duc , Nancy, Metz ou pour le moins celui de Saint-Dizier, Vitry, Bar-le-Duc, fait au lieu du chemin direct de Saint4/zier à Bar ne satisferait "pasite même pour ce pays auquel il
devra transporter, la continuité de leurs
arrivages, devra permettre à ce chemin de fer de placer son tarifa 6 centimes par kilomètre et par tonne. C'est un chiffre reconnu possible par l'expérience, et sur lequel, avec un service suffisant et constant, le chemin établit encore son bénéfice. A la distance de 208 kilomètres ce sera un frêt de
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doit servir, à ses plus utiles conditions, ce qui d'ail-; leurs est évident, puisque ce trajet serait, déSaint=Dizier jusqu'à Sarrebruck , de 288 kilomètres et que, même au prix de o fr, o6 par tonne, qui serait cependant alors plus difficile à établir à cause du service des convois de Paris et de Strasbourg, les houilles reviendraient à 2 fr. eo par Io° kilog., ,24
rendus à Saint-Dizier. 2,40 Soit 24 fr. la tonne au lieu de 55 à Go fr., prix
actuel. Ces houilles devront ensuite, il est vrai, être transportées de Saint-Dizier, dans les usines où elles sont mises en usage, mais par suite de ce transport lent, prix ne s'élèvera pas, sans doute, jusqu'à 25 fr. Nous avons supposé dans ces calculs un chemin
direct de Saint-Dizier à Metz; nous l'avons fait parce qu'un chemin de fer doit être le terme des
besoins et la solution de toutes les difficultés, com-
merciales surtout, des contrées qu'il traverse, et que sa direction ne doit peut-être jamais être déterminée autrement; ,or il est facile de voir que dans le besoin manifeste où l'on est en Champagne d'avoir les charbons à bon marché et avec les difficultés éviientes où l'on est en même temps de les obtenir, u ii chemin de -fer direct conime celui que nous avons indiqué de Saint-Dizier à Metz se
et à 3 fr. 32 pour le transport àu fr. 075. Au commencement de la troisième partie, en parlant du prix des charbons de bpis, et des conditions qui doivent probablement les maintenir, nous avons dit que plus tard les cokes arrivant au prix de 3 fr. 71 pourraient lent être substitués, mais
en faisant toutefois observer les influences qui, par suite de cet emploi, viendraientS&Tirésenter. dans la fabrication. Il est facile, sans revenir sur ce sujet et surSeS conséquences, d'établir que ce serait le prix réel.
En effet, lé-prixdii coke mis à Sarrebruck sur le chemin de fer serait pour 100 kilog. de.. 205 Les droits d'entrée, de décime (or,22) de o ,32 chargements, déchets, etc ° Transports sur 208 kilomètres, à 6 cent. ,248
Total
3,718
Si le chemin direct de Bar-le-Duc à Metz n'avait pas lieu, ce prix s'élèverait à 3 ,918 Différence par too kilog. de coke. . . . o ,20 'Les résultats de cette différence, si faible en