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01.0(iete X Ou CÉlti.
Stitt I.A rdSTITUTIOes
obtenu : prenant en même temps enconsidératiou que dans les ateliers d'amalgamation ordinaires ces frais augmentent plutôt que de diminuer, je crois qu'on peut admettre pour le minimum de la dépense qu'occasionne le traitement de ladite quantité d'argent : piastres.
92. 1 12 X I piastre 5 réaux
115.14°
d'exportation. . . . . . . . 4° Frais de transport de l'argent en barre de Copiapo au port et du port à
69.084
3° Les 6 réaux par marc de droit
...... . missions......
Val parais°
.
5° Dépenses extraordinaires,
En faisant la somme de tontes ces dépenses, et notamment des frais d'exploitation. . . . de traitement. . . Droit d'exportation. . Commissions, dépenses extraordinaires , transports. .
12.000 10,000
268.784 115.14o 69.084
35.179
On a pour total.
488,187 Il résulte de là que la moitié environ de l'argent qui entre dans le pays par l'exportation des prOduits de ces mines, sert à couvrir les frais qu'oecasionnent l'exploitation de ces mines'et la réalisation -de leurs produits. On voit en même temps que de la somme dépensée de cette manière 300.000p. environ servent à l'encouragement de l'agriculture et du commerce; 100.000 au maintien des établissements métalluraiques ; 70.000 rentrent dans les revenus de l'État.
Continuation de vôyerge. En partant de Chaîiarci116 , on Se dirige au sud sans descendre dans la travecia et sans quitter ce
terrain stratifié qui constitue la montagne de Chaffarcillo.
En allant dans cette direction, on laissé leSMines d'argent Mines d'argent de Bandurrias à gauche, et on d'Algarf°'11°. passe par celles de Algarrovito. Le gisement de ces dernières est identiquement le même que celui de Chai-larcin° : ce sont toujours des calcaires argileux et sablonneux analogues à ceux que l'on voit à Chariarcillo; seulement ici, ils se divisent en strates minces , schistoïdes, Ces mines n'obi jamais produit de grandes richesses. On y exploite actuelle-
ment un filon qui produit beaucoup d'une terre rougeâtre, marneuse, contenant de l'argent natif' et de l'argent chloruré, disséminés en particules excessivement petites. Cette terre se délaye facile-
ment dans l'eau, et on la lave dans un endroit situé à 2 lieues plus au sud-est pour concentrer un peu sa richesse, qui en générai n'excède pas 0,002. La cherté des vivres et de la main-d'uvre, l'extrême pénurie d'eau pour le lavage, et surtout le voisinage des mines de Chai-larcin°, qui offrent plus de chance de réussir, font qu'on n'a jamais exploité ces mines avec autant d'activité que les autres. Les minerais que l'on en extrait sont traités à Vallenar. A cinq lieues de ces mines, en se dirigeant toujours au sud, -ort perd de vue le terrain stratifié, et tout d'un Coup on se trouve au milieu des granits qui dépassent la ligne du contact des deux terrains, et. s'avancent beaucoup vers les .Cordil-