Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
652
MINÉRALOGIE.
Acide phosphorique.
Oxyde cuivrique.. Eau. Oxyde ferrique. .
100,00
AI;;mine.
Protoxyde de fer Magnésie.
.
.
.
Protoxyde de manganèse
Ce qui conduit à la formule
pacte, à cassure conchoïde; son éclat est vitreux, il est opaque, assez cassant, d'un vert d'émeraude
qui noircit un peu à l'air. Raie la chaux carbonatée et est rayé par la chaux fluatée. Pes. spécif. 3,38 à 3,4o. L'analyse, faite par M. Plattner, a donné 41,0 39,2 16,8
Acide phosphorique. Oxyde cuivrique .
Eau
2,71
68. Sur le PUMAS ; par M. A. Breithaupt. (Ami.
.de Pogg., t. LXIX, P. 430.) Ce minéral se rapproche par sa composition de la pyrite arsenicale. Son éclat est métallique et sa couleur blanc d'étain. Ses cristaux appartiennent au prisme rhomboïdal oblique; ils sont représentés Pl. XVI, fig. 39 et 40; en voici les angles M sur h
134. 20'
h
115° 55'
i 161
h M
100,0
Ce qui conduit à la formule .
55,17 5,09 18,33 17,65 98,95
Cu4P5+ 3Aq, ou Cu4...-E 6° Trombolithe. Ce minéral, qui vient de Libéthen , est com-
Cu' P°
653
EXTRAITS.
26,44 61,29 10,77 1,50
....
6Aq, ou Cu' P' -I- 6H.
67. Analyse du PLÉONASTE d' Arendal (Norwège);
par M. Th. Scheerer. (Ann. de Pogg., t. LXV, P. 294.) Le spinelle noir ou pléonaste se trouve dans la mine dite Stul-grube, près Arendal, sous la forme d'octaèdre avec modifications conduisant au dodécaèdre rhomboïdal, accompagné de pyroxène vert cristallisé, dans une gangue de chaux carbonatée. L'analyse a donné
h
h
i
i
117° 33' 103).) 15'
0' 51° 36' 119° 0' 146°
1180 30'
Ces cristaux présentent, suivant les faces P et M, deux clivages nets qui se coupent sous un
angle de 128° 24'. Leur dureté varie de 7 1/4 à 8. On a trouvé pour leur densité : cristaux du SaintGothard, 6,272-6,292; cristaux d'Ehrenfriedersdorf, 6,299-6,307; plinian en masse, d'Ehrenfriedersdorf,, 6,467. Ce minéral se comporte au chalumeau absolument comme le mispickel ; il a du reste la même composition, ainsi que le démontre l'analyse suivante, due à M. Plattner :