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TIISTORIQUE
Sardou). Elles sont séparées par un lit de schiste de orn,3o à 0"1,50, et sont sujettes 'à de nombreux resserrements. La bâtarde inférieure a im,So de puissance moyenne, et la bâtarde supérieure om,6o.
Les travaux d'exploitation se sont développés sur une assez grande étendue dans ces deux couches
DES MINES DE RIVE-DEGIER.
Au puits de Lorette Au puits Frère-Jean . . Au puits neuf du Citampbon. Au puits de l'Espérance. . . Au puits du Couchant .
au puits du Couchant. Ils débouchent dans le
Allure des couches.
puits par l'entrée inférieure et par une galerie inclinée à travers bancs qui conduit de la bâtarde à.. la grande masse. Les couches sont très-bouleversées dans la concession de la Cappe. La grande masse y forme trois
bas fonds bien distincts t° Celui de la Petite-Cappe, qui existe sous le ruisseau de Durèze , et dont les bords se relèvent au Nord dans la concession de la Montagne du Feu ;
Eaux.
20 Celui de Lorette , compris entre les puits de l'Espérance, de Lorette et Saint-Victor ; 3 Enfin celui de Grézieux , vaste entonnoir entouré de crins dont le fond correspond à peu près au confluent du Gier et du ruisseau de Collenon. Cette irrégularité des gîtes houillers , les nombreuses failles qui les coupent, peuvent contribuer, avec les dégradations du sol résultant des anciennes
exploitations par éboulement, à amener dans les mines de la Cappe une masse d'eau considérable et les inondations sont d'autant plus à craindre que le sol de cette concession est traversé par trois ruisseaux (1) et par un canal. Affluence d'eau en 24 heures (1) La Durèze, le Collenon et le Gier.
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8.000 hectolitres. i 1.600 . .
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200 800 1.650 200
12.450
Les charbons de la Cappe sont très-estimés pour la forge et la fabrication du coke.
La proximité du canal et du chemin de fer des puits d'exploitation est très-avantageuse pour
Quaide la houille.
Transport,.
les transports.
L'épaisseur totale des bâtardes Procès-verbal de du 17 mare au puits du Couchant est de 2m,60 à 3 mètres. visite 1812. Elles sont exploitées par remblais; ceux-ci sont pris dans les anciens travaux. On est obligé de faire ces remblais avec beaucoup de soin pour empêcher tous mouvements à la surface, qui dégraderaient inévitablement le bief du canal. Il existe
quelques ateliers dans la partie supérieure de la grande couche vers leNord-Ouest. C'est aussi dans cette partie de la mine que se trouvent les grands chantiers de remblais. Ces chantiers consistent en de vastes cavités pratiquées au toit de la couche,
dans lesquelles on provoque des éboulements. Deux chevaux sont employés la nuit au transport des remblais qui coûtent assez cher à cause de la distance à parcourir (o`,o7 par hectolitre de charbon .extrait). Le puits du Couchant reçoit par 24 heures noo hectolitres d'eau. Cette eau vient en grande partie du crin qui le sépare du puits
Bourret. On allait commencer au puits Neuf du Cham-
bon le creusement d'un faux puits partant de la