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DES MINES DE RIVEDEG1ER.
deuxième entrée et va rejoindre la partie basse de
puits Faure est mauvais. Son peu de solidité le
la grande couche. Les travaux les pl us profonds touchent au massi fquiséparele Champbon de Grézieux Ce massi f a une épaisseur de 25 à 3o mètres. C'est la compagnie de Grézieux qui doit l'exploiter nioyen-,-
rend très-dangereux.
nant une redevance de 0,20 par hectolitre, doit payer à la compagnie des Flaches, laquelle
est devenue propriétaire de ce terrain par suite d'un traité conclu entre elle et M. "Faure. L'ex-_ ploitaiion du Champbon touchant à sa fin, il est convenable que ce massif soit enlevé avant que les eaux n'envahissent la mine voisine.
Le roulage a lieu à Grézieux par chevaux qui traînent chacun une benne de 3 hectolitres. Pro-cés-verhal visite d, 11. niai
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HISTORIQUE
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On a retrouvé au puits Faure, en i 84 , le prolongement de la grande couche au delà du crin quila rejette à l'Est. Cette décou-
verte a eu lieu en pratiquant en un point du chemin d'air qui conduit au puits du Bois, une percée à travers bancs inclinée vers le puits Faure.. La couche a sa direction N.-E 4o° S.-0, et plonge. versle sud. Elle est .très-,bien caractérisée par la présence du nerf blanc et aussi du nerfbourru, qui se trouve à la partie inférieure. Déjà plusieurs recherches avaient été entreprises eu vue de découvrir la grande masse au delà du crin susdit; mais elles étaient restées infructueuses parce que les galeries à travers bancs pratiquées dans ce but se trouvaient toujours au-dessus du prolongement de la couche. L'aérage se fait du puits du Bois au puits
Faure, quoique l'orifice de ce dernier soit inférieur de to mètres à celui du premier puits. Cela tient sans doute à ce que les parties de la mine qui avoisinent le puits Faure ci qui sont sujettes à s'embraser fréquemment sont très-chaudes. Le
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La ,grande couche rencontrée au Procès-verbal de
puits Maniquet, à la profondeur de 305 mètres, a vine. de 8 à to mètres de puissance, et plonge vers le Sud sous un angle de 15. environ. Son inclinaison augmente de plus en plus jusqu'au bas-fond audelà duquel elle se redresse brusquement, en présentant successivement des parties inclinées et horizontales qui donnent à son ensemble la forme d'une espèce d'escalier. Les travaux sont portés dans le versant Sud de la couche qu'on exploite par remblais. Ceux-ci sont fournis par le crin qui sépare le puits Maniquet du puits Faure. On faisait dans ce crin une galerie de recherche dirigée vers l'Ouest pour reconnaître la partie vierge de la grande couche située dans le voisinage du ruisseau des Flaches. One galerie principale de roulage, partant du puits Maniquet, traverse toutes les couches à une profondeur de 358 mètres. Les transports se font par chevaux et chemins de fer. Il y a peu de travaux dans la bourrue. Le puits Saint-Martin a 3 entrées : la première
dans la grande couche, la deuxième un peu audessus de la bâtarde, et la troisième un peu audessous. Cette dernière conduit au bas-fond de la grande masse, et sert en même temps au roulage et à l'écoulement. La galerie intermédiaire a déjà traversé une première fois la grande masse. On poursuit activement son creusement afin que l'ex-
traction ne puisse se ralentir dans le cas où les eaux viendraient à inonder les travaux inférieurs. Plusieurs chantiers ouverts dans la relevée de