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qu'il y aura quelques réparations à faire à pompe du puits Château. Procès-verbal de visite du 27 sep, tentbre1813. presente,
DES MINES DE RIVE-DE-G1ER.
HISTORIQUE
la
La colonne du puits du Logis
à différentes hauteurs, plusieurs saillies où les bennes pourraient facilement se poser eu égard au défaut de verticalité et au faible diamètre du puits. Il serait donc utile de faire placer des bois destinés à raccorder la paroi verticale avec les extrémités de ces saillies. Le fond de la percée à travers bancs dirigée vers SainteBarbe est parvenu à 15o mètres du puits. Il serait à désirer que cette galerie fût poursuivie avec activité pour qu'on puisse reprendre les travaux du bas-lbnd le plus tôt possible ; mais les exploitants par motif d'économie ont suspendu le creusement de cette galerie qui se trouve aujourd'hui en assez mauvais état. Le gaz se montrait dans la couche bâtarde. Les eaux du Martoret se rendent à Egarande par la bâtarde du puits du Logis. On a pratiqué dans cette couche un trou de sonde à l'extrémité d'une galerie de l'aval-pendage, et on a percé au rond du puits du Martoret, après avoir traversé une épaisseur de rocher égale à 8 mètres. L'abaissement du niveau de l'eau devait permettre d'attaquer la portion de .couche qui existe entre les puits du Martoret, du Pré et du Logis. Le trou de sonde entrepris dans les travaux du puits du Pré donnait un peu d'eau. Le charbon dans lequel on avait fixé le robinet se trouvant fissuré, on l'a abattu pour assujettir le tuyau qui doit donner issue aux eaux dais un massif solide.
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CONCESSION DES COMBES ET EGABANDE (59 hectares). Ord. du 3 affin 1825. Concess. : MM. BÉTIIENOD, COSTE, BONNARD et Comp.
Cette concession comprend trois champs d'exploitation, savoir 1° Celui d'Egarande
Puits Moïse Saint-FrançoisetEgarande,
à la compagnie générale.
2° Celui des Combes : Puits du Cimetière, Coste et St-Maximin,
à la compagnie générale et à divers.
3° Celui de Pic-Pierre MM . Coste ,
Puits Neuf et Vieux
Bonnard et 1à compagnie.
i° Le puits d'Egarande, qui a été creusé en 18o8, a traversé la grande masse, les deux bâtardes et la
bourrue. La première couche a été rencontrée, en 1814, à 280 mètres de profondeur. Elle a de 7 à 9 mètres de puissance. On y a poussé des galeries dans toutes les directions, et surtout vers le
Sud, afin de reconnaître le point où il serait le plus convenable de foncer un second puits. La couche était très-bien réglée, du côté de la concession du Martoret, dont on atteignit la limite sans découvrir aucun crin; mais au Nord, vers la
ville, elle était relevée par une faille où l'on a tenté quelques recherches qui sont restées infructueuses.
Une percée à travers bancs fut alors ouverte au niveau de la mine des Combes, à 237 mètres du jour, et rencontra la grande masse à 4o mètres de son entrée. Une deuxième galerie au rocher fut aussi pratiquée à une profondeur de 252 mètres