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S
I". CONDITI0N8 GÉNÉRALES
Briques pour
Les briques rouges communes employées pour des les constructions ordinaires viennent pour la plufnderes;orr n'Id des environs de Bridgewater, dans le comté gine et prix. , de Sommerset. Les matériaux en sont fournis par les terrains secondaires superposés, dans cette partie centrale de la baie de Bcistol , aux formations anciennes qui en forment lesdeux extrémités. Le millier revient à 3o shil. aux usines galloises, savoir : 27 1/2 shil. pour l'achat et la taxe, 2 1 / 2 s'id. pour le transport à une distance moyenne de 8o kilomètres. Les navires qui se livrent à ce genre de tra ['sports a pportent en outre de ce même lieu,
les con,tructions , acei,ssoires
qui est en quelque sorte le jardin et la ferme du pays de Galles, des denrées de tout genre et surtout des grains, des légumes et des fruits. considérations
eliérales sur les
Les combustibles forment le principal objet de
combusliblesem. consommation des fonderies galloises; ils y sont plo; és.
essentiellement employés pour produire la chaleur nécessaire aux réactions, niais n'interviennent guère comme réactif, ainsi que cela a lieu dans la plupart des méthodes métallurgiques du continent. On réserve ordinairement pour les fonderies de cuivre les variétés de houille qui sont le moins propres aux autres emplois, ou même qui ne pourraient recevoir aucune autre destination. Les houilles grasses, grosses ou menues, peuvent être avec avantage exportées par voie de mer pour la .consommation du littoral dela Grande-Bretagne; mais les houilles sèches et surtout les anthracites que le pays de Galles produit en grande quantité, ne peuvent supporter les frais d'exportation que lorsqu'ils sont en morceaux. Le pays çde Galles expédie annuellement goo.000 tonneaux de combustible minéral dont les deux tiers environ sont
DU TRAITEMENT MÉTALLURGIQUE.
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composés de charbons non collants en morceaux;
l'extraction de ce dernier combustible entraîne celle d'une quantité à peu près égale de menu charbon. Celui-ci ne s'agglutinant pas par l'action de la chaleur ne peut être transformé en coke; il
ne peut être employé sur la grille de la plupart des fourneaux, parce qu'il glisse au travers des barreaux quand on le charge par petites quantités, et que, dans le cascontraire, il les obstrue complétement. La même difficulté se présente dans tous les districts carbonifères qui expédient au dehors
de grandes quantités de charbons : dans le pays de Newcastle, par exemple, on s'est vu réduit,
pour éviter l'encombrement, à brûler en pure perte cette sorte de combustible à ,la surface des
ateliers d'extraction. Pour certains usages spéciaux, où il n'est point nécessaire de produire de liantes températures, où l'on peut se dispenser de recourir à l'emploi des grilles, et où le combustible peut être divisé par le mélange même des matières solides qu'il s'agit d'élaborer, on a pu tirer
bon parti des bouilles sèches ou des anthracites menus ; mais ces emplois tels que la fabrication
de la chaux , la calcination de divers minerais, etc., sont assez restreints. Beaucoup de mé-
tallurgistes ont vainement tenté, depuis longtemps, de les appliquer à des usages plus relevés. Ces sortes de recherches reçurent une impulsion
nouvelle en diverses parties du continent européen lorsque j'eus prouvé, en i835, que les combustibles solides employés dans les fourneaux à tuyères agissent essentiellement par les produits de leur gazéification. On prit pour point de départ de ces nouveaux essais l'idée de transformer d'abord en gaz les combustibles dans des four-