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litleÉRALOGIE.
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(h) Lave de Hals. Cette lave, Élus moderne que celle de Tbjorsà, est cristalline, et présente un éclat faiblement vitré sur les faces du clivage et les faces des cristaux, qui appartiennent probablement au système du prisme 1 homboïdal droit. Cette lave est opaque et noirâtre, un peu magné-
Silice Chaux. Magnésie
tique. Dureté = 5,5-6,o; densité= 2,919. Son
OXyde ferreux.
5,5 6; densité = 2,776. Elle est faiblement
magnétique; On y trouve toujours de 2 à 3 p. o/o d'un minéral blanc, cristallin, feldspathique, qui paraît être de forthoklase, et un peu de péridot et de fie magnétique. Lave de i 845. Cette lave est cristallisée. Sa
dureté = 5,5 6,5 ; sa densité = 2,819. Cendres de l'éruption de 1845. Ce sont de petites scories noires, grises et parfois rouges, dont la dureté 5,5-6,o et la densité 2,815.
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Oxyde manganeux. .
analyse conduit à la formule de la wichtine de M. Laurent rSi' RSi'. Lave d 'E frahvolshraun. Cette lave n'est pas cristallisée, la cassure est inégale, légèrement conchoïde. Elle est noire, à raclure grise. Dureté
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que l'augite, donné avec le borax les réactions du fer, et avec la soude une scorie verdâtre. L'analyse a donné
Alumine
57,20 91,20 9,45 11,75 1,15 0,20 100,95
Sur les clivages du QUARTZ; par M. A. Kenn-
gott. (Ann. de Pogg., t. LXXIII, p. 6o3.) L'essai d'Un grand nombre de cristaux de quartz hyalin prisrné oc D, D (dihexaèdre sous l'angle de
133° 44') n'a indiqué aucune trace de clivage. Mais eu chaufaint ces cristaux sur là lampé h es-
prit-de-vin, et laissant refroidir à fair ou 'étonnant dans l'eau , on y détermine ordinairement des clivages plus ou moins nets parallèles à deux ou trois des faces du d'hexaèdre D. Dans un cas, M. Kenngott a obtenu par le clivage un pdinte-
ment rhomboédrique formé par trois faces du dihexaèdre.
61. Sur une nouvelle variété de PYROXÈNE; par M. Pipping. (CoMpt. rend. de Berzél., 1848, p. J5o.) Ce minéral, trouvé par M. Moberg dans un
filon de gneiss près Helsingfors, est vert grisâtre et
ressemble beaucoup au salite. Il a une cassure lamelleuse et offre trois clivages distincts. Il est opaque, donne une poudre blanche et a une densité de 3,166. Il est moins fusible au chalumeau
Sur un hydrate naturel d'ACIDE SILICIQUE; par M. Satvétat.(Ami. de Phys. et de Chiin,, 3° série, t. XXIV, p. 348.)
Cet hydrate, très-abondant aux environs d'Alger, est pulvérulent, très-léger, perd la moitié de son eau à ioo°, et est soluble, même après calcina-
tion, dans la potasse et la soude. L'analyse a donné;